Voyons Louis, tiens té coume y faut et n'fai po d'grimaches...
Cete phrase s'adresse t-il au fermier ou au beaudet ?
Toujours est-il que cette carte postale nous parle d'un petit métier aujourd'hui disparu, le fermier partant à la ville pour vendre son lait, et une jarre de crème fraiche.
Un temps ou il suffisait de quelques vaches pour faire vivre un foyer.