M. Antaki aurait pu quitter sa ville d’Alep pour se mettre à l’abri. Il
a au contraire décidé de rester pour se mettre au service des plus
démunis dans le cadre notamment de l’organisation caritative des
“Maristes Bleus”. Et pour témoigner de la gravité de la situation causée
par le soutien apporté par l’Occident aux groupes armés venus de
l’extérieur qui, depuis 4 ans, détruisent son pays et terrifient la
population.