Plus on veut égaliser l’homme et la femme plus ils sont différents. La fille tend à être studieuse et à faire des merveilles à l’école. Le garçon a un comportement de bourrin : soit il est éjecté du système scolaire et termine dans le caniveau soit il gagne des fortunes, car les postes les mieux rémunérés réclament le sacrifice de son humanité. (Et les mathématiques sont pour les bourrins !) Pas facile de constituer des couples dans ces conditions.
Pour le reste, M.Poutine pourrait avoir décidé de faire régner la terreur en Russie. Des bandes de truands exécutent ses opposants. Le plus préoccupant ?, est qu’il pourrait ne pas les maîtriser. Les Russes installés en Estonie s’intégreraient au pays. En Italie, on tente de faire de la RAI, reflet des luttes politiques nationales, une « entreprise normale ». Après une gesticulation coûteuse, la Grèce semble reprendre le chemin du précédent gouvernement. Amnesty Internationalserait en cheville avec un mouvement proche de l’Etat Islamique (Cage). Iran. L’économie souffre. « Plusieurs banques d’Etat seraient au bord de la faillite. » Règne de l’hypocrisie : les forces militaires qui le gardent s’enrichissent dans l'importation, et les groupes américains font de très bonnes affaires par le biais d’intermédiaires. Obamacare a « disrupté » l’économie de la santé et provoqué une forte innovation. Il semble que ce soit bon pour la population, et pour le système de soins, particulièrement inefficace : il consomme 17% du PIB national, et donne des résultats médiocres. Mais les Républicains ne désespèrent toujours pas d’abattre la loi. Républicains qui ont appelé M. Netanyahou afin qu’il critique leur président. Ce qui leur aurait permis de faire oublier leur dernière reculade (concernant une loi sur la légalisation d’immigrés).
Les Google, Apple et Facebook se font bâtir des sièges sociaux grandioses. « Le besoin d’élever un monument au prestige et à la puissance d’un gouvernant existe depuis les origines de l’histoire. » Et marque le début de sa fin.
La stratégie de M.Drahi est « emprunter, acheter, virer ». Même si, en ces temps de taux faibles, il ne manque pas d’investisseurs, son niveau d’endettement commence à être très préoccupant. A ce sujet, l’art est devenu le moyen de placement, de dissimulation ?, des extra riches. Un moyen un peu trop opaque, y compris pour leur propre bien.
Les grands empires bancaires (dont la BNP) passent un mauvais moment. Ils sont devenus beaucoup trop complexes, et réglementés, pour être économiquement performants. Mais aussi pour être démontés… Curieuse histoire de Citigroup, au passage : une banque monstrueuse qui ne semble pouvoir survivre qu’à coups de paris fous, qui se terminent en drames !
Le management par objectif tente un retour. Mais modifié. La définition et le suivi du respect des objectifs individuels est collectif, et plus ou moins permanent. A nouveau, les effets pervers semblent difficiles à éviter…