L'antiquaire réalisé par François Margolin sort le 18 mars prochain dans vos salles. Benjamin Siksou y est l'antiquaire, Jean ; le film suit sa petite fille, adulte, qui enquête pour mieux comprendre l'histoire de son grand-père, collectionneur d'art.
" Synopsis : Esther, jeune femme de 30 ans, part à la recherche de la collection de tableaux volés à sa famille, juive, pendant la Guerre. En cours de route, tout en mettant à jour des secrets de famille profondément enfouis, elle redécouvre son père.
CASTING
Esther : Anna Sigalevitch
Raoul : Michel Bouquet
Weinstein : Robert Hirsch
Simon : François Berléand
Melchior : Louis-Do de Lencquesaing
Gaspard : Adam Sigalevitch
Jean : Benjamin Siksou
Jeanne : Alice de Lencquesaing
Klaus : Niels Schneider
Fabienne : Fabienne Babe
Hurtado : Christophe Bourseiller
La rédactrice en chef : Olga Grumberg
La collègue d’Esther : Lolita Chammah"
Le réalisateur et co-scénariste du film avait un réel désir de rapporter la grande Histoire : le vol des tableaux aux collectionneurs juifs par les Nazis et leur non-restitution ou restitution au compte-gouttes par les musées français. Sur le site du film (après cette belle page d'introduction que les fans ne doivent pas voir), vous pourrez trouver des ressources sur le sujet. Le film a sans aucun doute un côté sérieux, informatif et pédagogique (et ce n'est pas une mauvaise chose), mais le réalisateur a finalement choisi d'en faire une fiction tournant autour d'une petite histoire : celle d'Esther et la recherche des tableaux volés à son grand-père.
Bande-Annonce
Benjamin sera présent dans les flashbacks comme dans l'extrait mis en ligne sur la page facebook et sur la page d'accueil du site du film.
En parlant des flashbacks, François Margolin dit : "...j’ai choisi d’en garder le minimum absolu. D’en faire des réminiscences, dont on ne sait pas très bien si elles sont réelles ou imaginaires . C’est pour cela que j’ai choisi le Super 8,qui donne une autre texture, un autre grain, des surexpositions et dessous expositions. Je déteste les flashbacks classiques des films sur l’Occupation : les tractions noires et les imperméables en cuir sombre… Les films qu’envoie Weinstein à Esther au tout début du film, c’est de la « mémoire », comme il le dit lui-même, mais dela mémoire que lui-même n’avait pas cherchée à retrouver. On ne sait pas d’ailleurs si Esther imagine ce qu’elle voit ou si cela est réel. J’aime cette ambiguïté. "
Publication by L'antiquaire.Source : lantiquaire-lefilm.com ; facebook.com/lantiquairelefilm
(Désolée pour la nouvelle forme du blog, une mise à jour d'Overblog a fait disparaître beaucoup de modules d'informations et de médias présents sur l'ancienne page d'accueil. En fait, tout a changé, administration, thème, gestion des abonnements... Je vous demanderai donc un petit peu de patience et d'excuser mes quelques expériences de présentation avant de pouvoir retrouver un blog convenable...)