Arrêter de fumer c’est possible mais ce n’est pas toujours facile. En effet, le tabac fait partie de la vie des hommes depuis des milliers d’années. Il a fait son entrée en France au milieu du XVI ème siècle. S’il était utilisé à cet époque comme remède par les Mayas pour soigner de nombreuses affections comme l’asthme ou les démangeaisons occasionnées par les piqûres d’insectes, aujourd’hui ses effets nuisibles sont bien connus. Malgré ce constat, les trottoirs des villes des pays où la cigarette est devenue interdite de séjour dans les lieux publics, sont toujours autant couvert de mégots.
Un peu d’histoire
L’apparition de la cigarette
La cigarette serait d’abord apparue en Espagne dans la seconde moitié du XVI éme siècle, pour n’arriver en France qu’après 1809, rapportée par les troupes napoléoniennes. Sa fabrication se mécanise progressivement : à la fin du XIX ème siècle, une machine en produit déjà 15000 à l’heure. La consommation de cigarette se développe réellement avec les « blondes » apportées par les GI venus libérer l’Europe.
Alternance du monopole et de la libéralisation
En 1719, la culture du tabac est prohibée dans toute la France, avec des condamnations allant jusqu’à la peine de mort en cas de transgression. La Franche-Comté, la Flandre et l’Alsace font exception à cette interdiction qui reste en vigueur jusqu’en 1791, année où l’Assemblée nationale déclare la liberté de cultiver, de fabriquer et débiter du tabac.
En 1810, le monopole exploité par l’État est rétabli par Napoléon Ier. A partir de 1816, le nombre de départements autorisés à cultiver du tabac augmente doucement jusqu’en 1884.
Dix ans plus tard, le monopole est propagé sine die et le tabac est placé sous l’autorité du ministère des Finances, dans une direction générale des manufactures de l’État. Ce monopole sera aboli en 1970 avec l’entrée en vigueur du règlement de la Communauté économique européenne.
A l’origine de la cigarette
Certains affirment que les mégots de cigares jetés par les riches négociants espagnols, récupérés puis roulés dans du papier par des individus moins fortunés, seraient à l’origine des premières cigarettes, vers la seconde moitié du XVI ème siècle. D’autres racontent qu’elle aurait été inventée par un soldat turc durant la guerre de Crimée, bourrant de tabac une cartouche en papier pour remplacer le fourneau de sa pipe arraché par une balle et qu’en 1840, le mot cigaret (petit cigare) devient cigarette.
La consommation prend de l’ampleur avec la fin de la seconde guerre mondiale
La cigarette fait une percée au cours de la première guerre mondiale : les soldats recevaient une ration quotidienne de cigarettes. La consommation de tabac commence à prendre de l’ampleur à la fin de la seconde guerre mondiale, avec l’arrivée des « américaines » dans les bagages des soldats venus d’outre Atlantique libérer l’Europe. La consommation de tabac devient planétaire.
La consommation de tabac devient même une conquête féminine à partir du XIX ème siècle et surtout au XX ème. En 1840, George SAND est la première femme célèbre à fumer en public.
La cigarette à bout filtre est inventée en 1930 mais n’entre dans les foyers qu’en 1950, en même temps qu’apparaissent les premières études montrant la toxicité du tabac.
Les effets néfastes du tabac pour la santé
Autrefois constituées uniquement de papier et de tabac, les cigarettes ont depuis les années 60 de plus en plus d’ajouts divers et variés. Au total plus de 4 000 substances chimiques inhalées par la fumée de cigarettes, dont plus de 60 classées cancérigènes par le Comité International de Recherche sur le Cancer.
En voici quelques-unes à vous faire pâlir d’angoisse :
- L’acétone qui est un dissolvant
- L’acide cyanhydrique qui était employé autrefois dans les chambres à gaz
- Monoxyde de carbone qui sort des pots d’échappement de nos voitures
- DDT qui est un insecticide tout comme la nicotine
- Méthanol qui est le principal carburant que l’on met dans les fusées
- Arsenic qui est un poison très violent
- Mercure, Plomb
- Nicotine, une plante très toxique qui a des propriétés acaricides, insecticides et fongicides.
Quant à croire qu’une cigarette « non brûlée » contient moins de substances nocives est certes vrai, mais il reste toutefois 2.500 composés chimiques, dont des pesticides et de nombreux additifs ! Alors autant vous dire qu’il n’y a nul besoin d’être devin pour voir que la cigarette ne peut qu’avoir de mauvais effets sur la santé. Néanmoins, nous avons listé pour vous tous les dangers que peut engendrer la cigarette.
La nicotine identifiée dans les feuilles de tabac
En 1809, Louis Nicolas Vauquelin, professeur de chimie de l’École de médecine de Paris, isole un principe actif azoté des feuilles de tabac. La nicotine sera complétement identifiée quelques années plus tard. Claude Bernard en démontre la toxicité en 1845 en provoquant la mort d’un lapin avec une goutte de nicotine pure déposé dans son œil. Expérience qui nous prouve que la nicotine est composé de substances irritantes et toxiques comme le monoxyde de carbone qui fait diminuer l’oxygène de l’organisme et des goudrons cancérigènes.En effet, la nicotine est le principal alcaloïde du tabac. Son taux contenu dans la fumée de cigarette est indiqué sur les paquets et est aujourd’hui compris entre 0,05 et 2 mg par cigarette.
Le fumeur qui n’inhale pas la fumée n’absorbe qu’une partie de cette nicotine, si en revanche il l’inhale profondément par bouffée, 95 % passent dans le sang. Dès lors, à la fin de la journée, un fumeur à la chaîne a déjà pris la dose mortelle de 30 à 50 mg. Mais comme l’absorption de la nicotine est étalée sur de nombreuses heures, le foie l’élimine au fur et à mesure. La première cigarette matinale entraîne un pic précoce de nicotinémie (taux de nicotine) qui s’élève brusquement jusqu’à 5 à 30 g/ml, selon la façon de fumer.
La nicotine est également la responsable de la dépendance au tabac. Il existe dans notre cerveau, des cellules réceptrices à la nicotine. Quand elles sont activées, elles génèrent des sensations de plaisir. Après une bouffée de cigarette, la nicotine passe rapidement dans le sang, se fixe sur les récepteurs et provoque ce plaisir en moins de dix secondes. Plus le nombre de cigarettes fumées est important, plus la sensibilité des récepteurs s’émousse et le plaisir diminue. Quand le fumeur arrête de fumer, une partie de ces récepteurs retrouve leur sensibilité et « réclame » de la nicotine, il y a manque, malaise, souffrance, nervosité etc… et la reprise du tabac devient alors nécessaire pour retrouver la sensation de plaisir.
Le nombre de récepteurs nicotiniques augmente chez le fumeur chronique. Un fumeur a 50 % plus de récepteurs nicotiniques cérébraux qu’un non-fumeur. Il faut plusieurs mois, voire plusieurs années pour que l’ex fumeur retrouve un nombre normal de récepteur nicotinique, ce qui joue sans doute un rôle important dans le processus de sevrage.
La nicotine a une demi-vie courte: le fumeur doit fumer fréquemment pour maintenir un niveau suffisant. Avec un paquet de cigarette par jour, un fumeur inhale environ 200 bouffées. Au matin après une nuit d’abstinence, la nicotine est pratiquement éliminée en totalité. La nicotine affecte également les systèmes respiratoire et cardio-vasculaires.s
Le tabac responsable du développement du cancer
Au début du XX ème siècle, plusieurs études épidémiologiques sont réalisées en Grande-Bretagne, en Allemagne et aux États-Unis pour rechercher les causes de l’augmentation de l’incidence du cancer du poumon. Au vu de leurs résultats, les chercheurs attribuent au tabac un rôle égal à celui de la pollution de l’atmosphère, du bitume des routes ou des gaz rejetés par les automobiles.
En 1950, cinq études, cas témoins (quatre aux États-Unis et une au Royaume-Uni) révèlent une étroite association entre tabagisme et cancer du poumon.
Deux chercheurs britanniques, Richard DOLL et A. Bradford HILL, entreprennent ensuite une grande étude prospective, incluant plus de 40 000 médecins. Ses résultats démontrent la responsabilité directe du tabac dans la survenue du cancer du poumon, surtout par l’utilisation de la cigarette, dont la fumée est nettement plus dangereuse que celle de la pipe ou du cigare. Elle fait également apparaitre qu’il n’existe pas de seuil en dessous duquel la consommation de cigarettes est inoffensive : le « petit » fumeur s’expose à un risque 13 fois plus élevé que celui prit par le non-fumeur.
En d’autres termes, le tabagisme menace progressivement la majorité des fonctions vitales et raccourcit implacablement l’espérance de vie. Il est impliqué dans de nombreux cancers et maladies cardio-vasculaires et respiratoires. La gravité de cette menace varie en fonction de la consommation moyenne quotidienne de tabac, de la durée du tabagisme et de l’âge auquel il a débuté. Il faut savoir qu’un cancer sur quatre est associé au tabagisme qui est impliqué dans la grande majorité des cancers des bronches, des poumons (le risque de cancer du poumon est dix fois plus élevé cher un fumeur), des cavités buccales et de l’œsophage. Il augmente fortement le risque d’autres cancers, tels ceux de la vessie, du pancréas, et intervient également dans les cancers des voies urinaires et des reins, du col de l’utérus, de l’estomac.
Le tabac et le cœur
Le tabac augmente la pression artérielle, accélère le rythme cardiaque, détériore les artère et, est l’ennemi numéro un du cœur et des vaisseaux. Il favorise la survenue de spasmes artériels (rétrécissement brutal), la formation de caillots et l’apparition de troubles du rythme cardiaque.Il y a d’abord un risque coronarien qui se traduit par l’augmentation de la fréquence des infarctus du myocarde (ils sont trois à quatre fois plus nombreux chez les grands fumeurs et dix fois plus chez les femmes prenant des contraceptifs œstroprogestatifs). Les décès par infarctus sont également deux fois plus élevés chez les fumeurs. Le tabac joue un rôle dans l’épaississement de la paroi des vaisseaux des membres inférieurs (artérite des membres inférieurs). Ces plaques rétrécissent la lumière artérielle et gênent la circulation sanguine. Dans les jambes, elles finissent par provoquer des douleurs, des difficultés à marcher et, à terme, peuvent entraîner gangrène et amputation.
Les risques vasculaires touchent également les artères du cerveau et augmentent la fréquence des accidents vasculaires cérébraux. Le monoxyde de carbone, issu de la combustion du tabac, pénètre dans le sang et y prend la place de l’oxygène nécessaire au cœur et aux autres organes qu’il contribue a asphyxier.
Le tabac et les maladies respiratoires
La bronchite chronique est très fréquente chez les fumeurs, elle aboutit à une détérioration progressive de la fonction respiratoire. La toux, surtout le matin, au réveil et un essoufflement à l’effort sont les principaux signaux d’alerte. Chez les personnes asthmatiques, le tabac est un facteur aggravant. Chez les personnes ne souffrant pas de maladies respiratoires chroniques, il favorise la survenue d’infections respiratoires.Suite à toutes ces études, les premiers avertissements sanitaires apparaissent. En 1960, les autorités sanitaires des États-Unis publient un rapport de 387 pages dans lequel elles déclarent : « fumer présente un risque pour la santé suffisamment important pour que les États-Unis prennent les mesures nécessaires pour y remédier ». Pour la première fois, il est interdit de fumer dans l’enceinte du ministère des Affaires étrangères.
En 1957, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) fait de la consommation du tabac une toxicomanie, mais elle ne lancera le premier programme international de lutte contre le tabagisme qu’en 1971.
Le tabac, la peau, les dents et le sommeil
Fumer peut aussi avoir une incidence néfaste sur la peau, les dents, la vision ou la qualité du sommeil.
Le tabac accélère le vieillissement de la peau et ternit le teint et les phanères
En effet, le tabac provoque sur la peau des signes similaires à ceux de la pollution. Les radicaux libres entraînent une altération des fibres élastiques et des faisceaux de collagène, avec pour résultat l’apparition prématurée de rides et ridules sur le visage, un amincissement du visage et un teint terne, voire jaunâtre.La réduction de l’oxygénation des tissus et de l’apport des nutriments provoqués par le monoxyde de carbone est responsable d’un épaississement de l’épiderme, d’une perte de tonicité et d’élasticité de la peau. Les cheveux vieillissent plus rapidement et deviennent ternes et cassants. Les ongles prennent une coloration brunâtre et deviennent eux aussi cassants.
Le tabac, l’ennemi de la bouche, des gencives et des dents
Le tabac est facteur de risque majeur pour le développement des maladies parodontales. Les dents imprégnées de résidus tabagiques sont jaunies, les racines se dénudent et l’inflammation s’installe.
Les fumeurs ont :
- Plus de dents manquantes : On a remarqué qu’entre 19 et 40 ans, la majorité des pertes des dents est associée à la consommation de plus de 15 cigarettes par jour.
- Plus de plaques dentaires : Les fumeurs ont plus de dépôts sur les dents que les non-fumeurs;
- Altérations de la muqueuse buccale et une moins bonne réponse au traitement.
Le tabac provoque une moins bonne qualité de sommeil
Par rapport aux individus n’ayant jamais fumé, les fumeurs s’endorment plus difficilement et pour moins longtemps. Les fumeurs peinent à s’endormir et se réveillent peu reposés. Ce sommeil peu réparateur a pour résultat une diminution de la vigilance et des capacités intellectuelles diurnes, d’où une baisse de la qualité de vie.Le tabac double le risque de cataracte
Les yeux irrités et les conjonctivites sont plus fréquents chez les fumeurs. Chez les personnes sensibles, il agit sur les glandes lacrymales et provoque un larmoiement.
Par ailleurs, le tabac favorise également l’opacification du cristallin de l’œil, conduisant à l’apparition de la cataracte. Celle-ci est deux fois plus fréquente chez les fumeurs.
Les femmes particulièrement vulnérables au tabac
Selon l’OMS, entre l’âge, l’utilisation de la pilule et le statut tabagique, c’est ce dernier qui est le facteur multiplicatif le plus important dans le risque d’infarctus chez la femme. Les fumeuses prenant des œstroprogestatifs de synthèse voient leur risque cardiaque multiplié par dix avant 35 ans et par vingt et un après 35 ans.Par ailleurs, le tabagisme est également associé à une augmentation du risque de cancer du col de l’utérus, trois fois plus important chez une femme qui fume.
Le tabac à également un impact sur la ménopause puisqu’elle arrive avec en moyenne deux ans d’avance chez les fumeuses. Le tabac agit également sur le métabolisme osseux : les fumeuses ont des os qui s’appauvrissent davantage en calcium par ostéoporose que les femmes qui ne fument pas.
Les femmes ont réellement commencé à fumer dans les années 1960 et 1970. Sur 100 fumeurs, le nombre de femme est passé de 33 en 1974 à 45 en 2010. Cette hausse est particulièrement marquée chez les femmes de 45 à 65 ans.
Tabac et grossesse : Une liaison dangereuse
La plupart des femmes souhaitent arrêter de fumer durant leur grossesse mais certaines éprouvent des difficultés à le faire parce qu’elles sont dépendantes à la nicotine. Dans la réalité, un peu moins d’un tiers des femmes enceintes continuent de fumer pendant leur grossesse et un peu moins d’un quart fument de façon quotidienne. Pourtant, le tabagisme de la mère peut avoir des conséquences non négligeables sur le fœtus et le nouveau-né.
Les effets du tabac sur le fœtus
Dans l’utérus le fœtus reçoit l’oxygène par le sang de la mère. Quand cette dernière fume, son sang se charge de monoxyde de carbone, particulièrement toxique. De plus, la nicotine a un effet vasoconstricteur sur la circulation sanguine moins bonne et diminuant l’oxygénation du bébé.
D’autres substances de la fumée de cigarette sont également néfastes. Fumer peut ainsi avoir une incidence et retarder la croissance intrautérine, affectant à la baisse le poids du bébé, sa taille et son périmètre crânien. Le poids moyen d’un nouveau-né de mère fumeuse est inférieur de près de 300 g à celui d’une maman non fumeuse.
Le tabac diminue la production de lait maternel
Diminuant le taux de prolactine, le tabac diminue la production lacté (elle est de 690 ml contre 960 ml chez une non fumeuse) et la nicotine passe rapidement dans le lait. Les effets du tabagisme lacté sont cependant moins importants que ceux du tabagisme passif.
Des conséquences pour l’enfant
De nouvelles complications ont été mises en évidence ces dernières années, liées à l’action de la nicotine sur le cerveau du fœtus au cours de son développement. En traversant la barrière encéphalique, la nicotine viendrait se fixer sur les récepteurs nicotiniques cérébraux, modifiant ainsi toute la chaîne des neurotransmetteurs qui jouent un rôle essentiel dans la croissance et la différenciation neuronale.
Tous ne sont pas dépendants
Un indicateur grossier de la dépendance est le délai entre le réveil et la première cigarette. Le « Baromètre santé 2000″ indiquait que parmi les fumeurs réguliers adultes, 11% prennent leur première cigarette dans les cinq premières minutes qui suivent le réveil et 26% entre six à trente minutes après le réveil.
A 17-18 ans, ils sont déjà 11% à dire fumer dès le réveil et 20% à fumer avant de sortir de chez eux. Chez les 17-18 ans, le pourcentage de ceux qui font usage de tabac dès le réveil passe de 26% chez les fumeurs de 5 cigarettes au moins par jour à 41% chez des fumeurs de plus de 20 cigarettes.
Selon une étude européenne réalisée en 2006, près d’un fumeur sur trois à essayer de s’arrêter au cours des douze derniers mois, avec des succès divers. 27% ont maintenu leurs efforts pendant plus de deux mois, mais pour 34% d’entre eux, la tentative n’a pas duré plus d’un à six jours. 28% d’entre eux ont essayé entre une et cinq fois, 2% entre six et dix fois, 1% plus de dix fois.
Le tabac en chiffre :
- Un tiers des 12 à 75 ans fume, ne serait-ce que de temps en temps
- Près d’une personne sur deux de 18 à 34 ans fume
- Les adultes de 26 à 75 ans fumant régulièrement consomment en moyenne 15 cigarettes par jour ; près de la moitié d’entre eux présente des signes de dépendance
- En 2012, il s’est vendu 51 458 000 millions d’unités de cigarettes.
Chaque années, 750 000 personnes arrêtent de fumer durant au moins un an (plus de 2000 personnes chaque jour), des chiffres qui pourraient augmenter avec les nouvelles législation.
Comment arrêter de fumer naturellement ?
On l’a dit arrêter de fumer n’est pas facile, beaucoup de personne paradoxalement aux conséquences néfastes que la cigarette procure à notre organisme, trouvent du réconfort et une certaine échappatoire à leurs problèmes quotidiens. Mais malheureusement c’est tout ce que ces personnes voient, le plaisir éphémère, pas les désastres que cela provoque.
Conscient que ce n’est pas une mince tâche que d’arrêter de fumer, il vous faut vous armer de courage, d’un mental d’acier et d’une volonté à toute épreuve. Vous vous demandez où trouver ce courage lorsqu’on est à bout de force, abattu par les épreuves et les mauvais tours que nous joue la vie? Comment s’armer de cette volonté qui semble sortir d’un autre monde ? Parce que difficile n’est pas synonyme d’impossible, nous vous proposons aujourd’hui un pack exclusif qui a fait ses preuves déjà sur des centaines de personnes.
Pour vous débarrasser de la cigarette pour toujours il n’est question ni de patch, ni de médicament, uniquement de trois phases bien précise. La première est la désaccoutumance.
Phase 1 : La désaccoutumance
Vous avez sûrement déjà entendu parler des pouvoirs des Fleurs de Bach et de leur impact sur nos émotions ? Si non, nous vous conseillons de lire cet article très intéressant sur les Fleurs de Bach.
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Les laboratoires DEVA ont mit au point ce produit, pour les personnes devant subir un changement d’habitude comme le sevrage tabagique. Très efficace deux pulvérisation gouttes trois fois par jour suffisent. Pour vous le procurez c’est très simple il suffit de cliquer ici. Si vous préférez, il existe également en gouttes. Cliquez ici
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Toujours pour la phase 1, nous vous proposons également un produit des laboratoires DEVA L’Elixir Floral Ipomée également créer pour aider à supporter l’arrêt des mauvaises habitudes. Il ramène la stabilité en tonifiant et en rafraichissant votre organisme. Composé d’eau de source, cognac, infusion solaire de fleurs (0,5%) – Alcool 20% vol, tous les ingrédients sont issus de l’agriculture biologique certifiée Ecocert. Fonctionnant également comme le principe des Fleurs de Bach, 3 gouttes trois fois par jour sont suffisantes. Il faut les maintenir sous la langue ou les avaler dans un petit verre d’eau.
Phase 2 : Le geste sensoriel (la gestuelle)
Si certaines personnes fument pour trouver du réconfort ou échapper au quotidien, d’autre ne le font que par habitude du geste. Et lorsque ces personnes essayent d’arrêter de fumer, ce qui leur manque le plus est donc ni la nicotine ni le tabac mais la gestuelle. Le fait d’avoir quelque chose entre les doigts et de porter cette chose jusqu’à la bouche procure un bien fou. Ridicule pensez-vous ? C’est pourtant la vérité, il n’est pas nécessaire de trouver une explication logique, c’est psychique, mental. Néanmoins, pour arrêter définitivement de fumer il va bien falloir se débarrasser de cette habitude. Là encore pas de panique nous avons une solution pour vous. Il s’agit des NTB .
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Ce sont des dispositifs médicaux gestuel et sensoriel qui atténuent les symptômes de manque en reproduisant les perceptions sensorielles. Disponible en Cartouche de 10 paquets de 20 cigarettes filtre sans tabac et sans Nicotine, il est également possible de les acheter en paquet individuel. L’objectif de NTB est d’accompagner le fumeur jusqu’à la fin de son sevrage et d’augmenter ses chances de succès. Les NTB sont très utiles, notamment en cas d’envie trop pressante de fumée pendant votre sevrage tabagique.
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Phase 3 : Éviter la rechute
Après tous les efforts faits et tout le chemin parcouru il serait fâcheux de retomber et allumer une cigarette. Pourtant cela est arrivé à des centaines de personnes qui étaient elles aussi bien parti pour arrêter de fumer pour toujours. Parce que les émotions prennent souvent le dessus sur notre volonté, Nous vous proposons ici deux produits que l’on peut qualifier d’anti-rechute car ils vous aideront à vaincre ce moment de faiblesse qui fera tout basculer.
Elixir Floral BIO Tabacum
Le premier produit est créer par le laboratoire DEVA, il s’agit de L’élixir floral Tabacum (Nicotiana tabacum) destiné aux personnes qui ont arrêtés de fumer et ont peur de rechuter. Cet élixir floral BIO à la fleur de Tabacum vous aidera à surmonter ce sentiment de peur et ainsi d’éviter toute rechute. 3 petites gouttes sous la langue 3 fois par jour suffiront à vous enlever toute tentation. Cliquez ici, pour acheter ce produit.
Le deuxième produit nous vient lui aussi du laboratoire DEVA, La fleur de Bach Gentiane réputée pour apporter du courage et une responsabilité pour faire face à toutes les situations de la vie.
Fabriquée dans les Alpes Françaises selon la méthode originelle du Dr Bach et certifiées Agriculture Biologique, L‘élixir floral de Bach Gentiane Bio permet donc de surmonter le doute, le découragement et le manque de foi.
Il est destiné aux personnes enclines à la mélancolie, à la tristesse, au découragement et au désappointement.
Nous espérons que ce petit cours sur le tabac, la cigarette et leurs dangers vous a été très utile. Et n’oubliez pas, la combinaison de ces trois produits sera votre allié le plus fidèle ! Elle vous aidera à vous débarrasser de la cigarette pour toujours ! Parce que la santé est notre priorité, arrêter de payer pour vous tuer, faites le pour vous soigner…