L’aventurier de Sabrina Jeffries

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

Chronique réalisée par Rose

:star: Les Hussards de Halstead Hall Tome 2 : L’aventurier de Sabrina Jeffries

Série : Les Hussards de Halstead Hall tome 2
Nombre de pages :
 384 pages
Éditeur : J’ai Lu
Date de sortie : 4 février 2015
Collection : Aventures & passions
Langue : Français
ISBN-10: 2290091693
ISBN-13: 9782290091692
Prix Éditeur : 7,40 €
Disponible sur Liseuse : Oui

Son résumé :

Parce que son frère a sombré dans l’alcoolisme, Annabel Lake doit se débrouiller seule pour sauver la brasserie familiale. Désireuse de se lancer sur le marché indien, elle se résout à quémander l’aide de leur concurrent direct, la célèbre brasserie Plumtree, propriété du clan Sharpe. Malheureusement, Annabel doit traiter avec le fils cadet, Jarret, joueur notoire, qui va se montrer à la hauteur de sa réputation en la défiant aux cartes : si elle gagne, il lui prêtera main-forte ; si elle perd… elle réchauffera son lit le soir même.

Mon avis :

J’avais adoré le premier tome, Une Américaine à Londres. Ce deuxième tome est un peu en-dessous, mais il reste quand même très agréable à lire, et on a hâte de découvrir la suite !

Jarret le parieur

Nous sommes en 1806, à Eton College, l’école huppée des jeunes Anglais. Lord Jarret Sharpe, treize ans, n’en peut plus. Martyrisé par ses « camarades », il ne supporte plus son école. S’ajoutent à ça le décès de ses parents et le refus de sa grand-mère de le garder au sein de la brasserie Plumtree, où il a passé son enfance. À peine arrivé, déjà il se fait racketter, lorsque Giles Masters, le meilleur ami de son frère Olivier (que nous avons rencontré dans le premier tome) s’empresse de le venir à sa rescousse. Mais, pour ne pas perdre la face, le jeune Jarret accepte le défi de Platt, qui vient de lui voler son jeu de cartes : il pourra récupérer son bien s’il gagne au piquet. Une heure plus tard, il a gagné. Deux heures plus tard, il a augmenté sa mise. Le lendemain, rebelote. Cette nuit-là signa la fin de ce racket.

Près de 20 ans plus tard, Jarret est soumis au même chantage que ses frères et sœurs, de la part de sa grand-mère : ils ont tous un an pour s’établir, sinon ils seront déshérités. Et en plus elle leur coupera les vivres. S’ils ne respectent pas ce qu’elle leur demande, ils seront sous la responsabilité d’Olivier. Or Halstead Hall, leur propriété d’Ealing, rapporte un peu, mais pas suffisamment pour assurer des rentes et des dots à toute la fratrie. Olivier s’est casé, mais les autres sont célibataires (et fiers de l’être). De plus, leur grand-mère est mal en point. Elle appelle d’ailleurs Jarret à son chevet : trop faible pour travailler à la brasserie, elle souhaite (ou plutôt ordonne…) que son petit-fils prenne sa place, le temps qu’elle se rétablisse. Mais Jarret, en bon joueur, ne va pas céder si facilement à ses récriminations. Après de nombreuses tergiversations, le jeune homme a le sourire : sa grand-mère renonce à l’obliger à se marier s’il s’occupe de la brasserie durant sa convalescence.

Annabel la brasseuse    

De son côté, Annabel est anxieuse. La brasserie dont elle s’occupe est en crise, notamment du fait de l’alcoolisme de Hugh, son frère, propriétaire de l’endroit. Elle, en tant que femme, n’a droit qu’à bien peu de reconnaissance. C’est pour cette raison qu’elle a décidé de demander de l’aide à Hester Plumtree. Entre femmes, elles pourront peut-être se serrer les coudes. Et puis, de toute façon, c’est sa dernière chance… Après avoir réussi à forcer le passage (le secrétaire de Mme Plumtree était pugnace), elle se retrouve… devant un jeune homme. Jarret bien sûr ! Il va donc falloir maintenant qu’elle puisse le convaincre d’associer leurs deux brasseries.

Mais Lord Jarret est réticent à l’idée de contracter un accord avec la brasserie d’Annabel. Les caisses de Plumtree ne sont pas débordantes, mais la jeune femme a des arguments…

J’ai beaucoup aimé le personnage de Jarret, que j’ai trouvé intéressant tant dans son histoire que dans son comportement et ses réactions. J’ai été moins emportée par Annabel, car j’avais en tête l’héroïne du premier tome, et j’ai trouvé là qu’on perdait un peu en fraîcheur.

Néanmoins, ça reste une très bonne romance, un divertissement bien agréable, et j’ai hâte de pouvoir lire la suite !

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Chronique réalisée par Rose

:star: Les Hussards de Halstead Hall Tome 2 : L’aventurier de Sabrina Jeffries

Série : Les Hussards de Halstead Hall tome 2
Nombre de pages :
 384 pages
Éditeur : J’ai Lu
Date de sortie : 4 février 2015
Collection : Aventures & passions
Langue : Français
ISBN-10: 2290091693
ISBN-13: 9782290091692
Prix Éditeur : 7,40 €
Disponible sur Liseuse : Oui

Son résumé :

Parce que son frère a sombré dans l’alcoolisme, Annabel Lake doit se débrouiller seule pour sauver la brasserie familiale. Désireuse de se lancer sur le marché indien, elle se résout à quémander l’aide de leur concurrent direct, la célèbre brasserie Plumtree, propriété du clan Sharpe. Malheureusement, Annabel doit traiter avec le fils cadet, Jarret, joueur notoire, qui va se montrer à la hauteur de sa réputation en la défiant aux cartes : si elle gagne, il lui prêtera main-forte ; si elle perd… elle réchauffera son lit le soir même.

Mon avis :

J’avais adoré le premier tome, Une Américaine à Londres. Ce deuxième tome est un peu en-dessous, mais il reste quand même très agréable à lire, et on a hâte de découvrir la suite !

Jarret le parieur

Nous sommes en 1806, à Eton College, l’école huppée des jeunes Anglais. Lord Jarret Sharpe, treize ans, n’en peut plus. Martyrisé par ses « camarades », il ne supporte plus son école. S’ajoutent à ça le décès de ses parents et le refus de sa grand-mère de le garder au sein de la brasserie Plumtree, où il a passé son enfance. À peine arrivé, déjà il se fait racketter, lorsque Giles Masters, le meilleur ami de son frère Olivier (que nous avons rencontré dans le premier tome) s’empresse de le venir à sa rescousse. Mais, pour ne pas perdre la face, le jeune Jarret accepte le défi de Platt, qui vient de lui voler son jeu de cartes : il pourra récupérer son bien s’il gagne au piquet. Une heure plus tard, il a gagné. Deux heures plus tard, il a augmenté sa mise. Le lendemain, rebelote. Cette nuit-là signa la fin de ce racket.

Près de 20 ans plus tard, Jarret est soumis au même chantage que ses frères et sœurs, de la part de sa grand-mère : ils ont tous un an pour s’établir, sinon ils seront déshérités. Et en plus elle leur coupera les vivres. S’ils ne respectent pas ce qu’elle leur demande, ils seront sous la responsabilité d’Olivier. Or Halstead Hall, leur propriété d’Ealing, rapporte un peu, mais pas suffisamment pour assurer des rentes et des dots à toute la fratrie. Olivier s’est casé, mais les autres sont célibataires (et fiers de l’être). De plus, leur grand-mère est mal en point. Elle appelle d’ailleurs Jarret à son chevet : trop faible pour travailler à la brasserie, elle souhaite (ou plutôt ordonne…) que son petit-fils prenne sa place, le temps qu’elle se rétablisse. Mais Jarret, en bon joueur, ne va pas céder si facilement à ses récriminations. Après de nombreuses tergiversations, le jeune homme a le sourire : sa grand-mère renonce à l’obliger à se marier s’il s’occupe de la brasserie durant sa convalescence.

Annabel la brasseuse    

De son côté, Annabel est anxieuse. La brasserie dont elle s’occupe est en crise, notamment du fait de l’alcoolisme de Hugh, son frère, propriétaire de l’endroit. Elle, en tant que femme, n’a droit qu’à bien peu de reconnaissance. C’est pour cette raison qu’elle a décidé de demander de l’aide à Hester Plumtree. Entre femmes, elles pourront peut-être se serrer les coudes. Et puis, de toute façon, c’est sa dernière chance… Après avoir réussi à forcer le passage (le secrétaire de Mme Plumtree était pugnace), elle se retrouve… devant un jeune homme. Jarret bien sûr ! Il va donc falloir maintenant qu’elle puisse le convaincre d’associer leurs deux brasseries.

Mais Lord Jarret est réticent à l’idée de contracter un accord avec la brasserie d’Annabel. Les caisses de Plumtree ne sont pas débordantes, mais la jeune femme a des arguments…

J’ai beaucoup aimé le personnage de Jarret, que j’ai trouvé intéressant tant dans son histoire que dans son comportement et ses réactions. J’ai été moins emportée par Annabel, car j’avais en tête l’héroïne du premier tome, et j’ai trouvé là qu’on perdait un peu en fraîcheur.

Néanmoins, ça reste une très bonne romance, un divertissement bien agréable, et j’ai hâte de pouvoir lire la suite !