nous nous en détournons
pour gagner d’autres espaces
libres de toute attache.
Quand le jour pèse sur les herbes
et que le souffle s’effiloche,
il nous reste à inventer
d’autres issues, d’autres passages
pour croire encore à l’inespéré.
***
Max Alhau (né en 1936) – À la nuit montante (2002)