Quel est le chef lieu de canton ?
C’est simple, c’est la commune du canton qui compte le plus d’habitants.
Pourquoi ces nouveaux cantons ?
Une évolution des cantons était devenue nécessaire. Avec des territoires qui gagnent en population, et d’autres qui en perdent, il existe un déséquilibre. Par exemple, le canton de Fontaine-Le-Dun comptait à peine 4.000 habitants quand celui de Pavilly dépassait les 31.000 ! Or, chacun ne comptait qu’un seul conseiller général. Désormais les 35 cantons comptent près de 40 000 habitants et tous ont deux représentants. Les territoires sont plus égaux et mieux représentés.
Pourquoi ne pas avoir gardé les limites des communautés de communes ?
Jamais les limites des communautés de communes n’ont servi à délimiter les cantons. Ainsi, l’ancien canton de Notre-Dame de Bondeville était à la fois sur la CREA et sur la Communauté de Communes des Portes Nord Ouest. Cela n’a pas empêché le Département de soutenir les projets des communes.
Oui, les exemples récents sont nombreux. Le plus illustratif est celui de la gendarmerie de Pavilly-Barentin. Les deux gendarmeries n’en forment plus qu’une sur la commune de Pavilly, mais les gendarmes ne s’arrêtent pas à la limite du canton. De telles réalisations seront toujours possibles dans notre nouveau canton.
Quels changements au quotidien pour les habitants ?
Dans notre vie quotidienne, ce nouveau canton n’entraîne aucune modification. Le territoire est un peu plus grand, mais deux élus y seront les représentants des habitants. Deux fois plus d’écoute, deux fois plus de disponibilité, deux fois plus de suivi des dossiers.
Et la majorité départementale ?
Sous la conduite de son Président, Nicolas Rouly, la Majorité Départementale porte un bilan positif (ex : le département ne cesse de se désendetter depuis 3 ans sans laisser tomber les nombreuses politiques de solidarité …) et développe des propositions ambitieuses :[clic].
70 candidats titulaires et autant de « remplaçants », nouveaux noms donnés aux « suppléants » par la loi – soient 140 candidats – sillonnent la Seine-Maritime à la rencontre des Seinomarins qui les connaissent et les reconnaissent puisqu’ils travaillent déjà pour eux chaque jour : petite enfance, transports, routes, équipements, culture, aides associatives, environnement, seniors, jeunes …
Ce ne sont pas des candidatures « de passage » comme avec le FN, parachutés pour des motifs politiciens.
Ce ne sont pas des candidatures « de retour » comme avec les candidats UMP-UDI dont les représentants qui commettaient en 2004 de graves décisions, se présentent 10 ans plus tard sans idées.
Ils travaillent chaque jour pour les habitants de leurs canton où on les connait. Honnêtes, disponibles et tolérants, ils et elles font la Seine-maritime solidaire d’aujourd’hui, le département efficace de demain !