Comme nous l’annoncions dans notre article d’hier, Delhaize est sur le point de démarer sa Foire aux vins de printemps. Elle aura lieu de 5 au 25 mars 2015. Il s’agira principalement de gratuités : 1+1, 3+1 ou 4+2. Comme d’habitude, le plus gros de la sélection est disponible en magasin, et quelques références sont réservées à la commande en ligne sur Delhaize Wineworld. Ces dernières peuvent bien entendu être retirées sans frais dans le Delhaize de votre choix après avoir passé commande.
Voici une liste de quelques belles bouteilles de l’assortiment, dégustées et commentées par nos soins.
Cava (Catalogne, Espagne) – Effervescent
 Vincent Dasnoy Belle découverte que ce Reina Maria Cristina. On a sans doute trop l’habitude en Belgique des Cavas "entrée de gamme", qui constituent de beaux rapports qualité/prix, mais pas forcément des vins très complexes. Ce Cava a une robe plutôt claire et une bulle assez fine. Le nez est très expressif, sur les fruits blancs (pêche) et les fruits rouges (groseille), avec des notes florales et un léger brioché. La bouche est assez intense, la bulle justement proportionnée, beaucoup de rondeur. Il serait dosé à 10,5 / 11 g de sucre par litre, ce qui paraît assez élevé pour un brut, mais pas du tout excessif à la dégustation, car c’est contrebalancé par l’acidité. La finale est assez persistante. En conclusion, c’est un Cava qui risque de plaire autant à celui qui ne s’intéresse pas au vin, de par sa rondeur et sa grande accessibilité, qu’à l’amateur averti, grâce à sa complexité, son intensité et sa fraîcheur. |
 Vincent Dasnoy Weissburgunder n’est autre que la traduction de Pinot Blanc en allemand. Nez de fruits blancs, de pêche, d’abricot. La bouche est très ronde, impression accentuée par une certaine sucrosité (7 g/l à l’analyse), avec une acidité suffisante. Un vin sans grande complexité mais gourmand et très accessible. |
 Vincent Dasnoy Quand on parle de Riesling en Belgique on pense généralement à l’Alsace. Mais le pays roi de ce cépage, qui en fait certains des vins les plus chers au monde, c’est bien l’Allemagne. Celui-ci est un Trocken, ce qui signifie sec, mais ces classifications ne sont pas les mêmes en France et en Allemagne, puisque ce "sec" contient plus de 7g de sucre résiduel par litre. Il est surtout, au nez comme en bouche, sur le citron et les agrumes. En bouche il est très frais, le sucre peu présent grâce à l’acidité, et la finale citronnée. Je le vois très bien en vin d’apéritif. À moins de 5€, voire moins de 4€ en promo, on n’est pas volé ! |
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Vincent Dasnoy Ce Pinot Blanc est issu d’un petit vignoble (1 ha) de l’Alto Adige, région du nord de l’Italie, frontalière avec la Suisse et l’Autriche. Son nez est assez discret, sur des notes florales. En bouche c’est un vin frais, rond et fruité, bien équilibré, avec des notes d’agrumes. |
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Vincent Dasnoy Les Barbera d’Alba que j’ai pu déguster à ce jour étaient souvent des vins plutôt puissant. Ce n’est pas le cas de celui-ci. Bouquet de belle intensité très fruité, sur le jus de cerise. Bouche du même acabit, fruit assez gourmand, c’est léger, souple, digeste, |
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Vincent Dasnoy Robe saumonée plutôt foncée. Le nez est discret, sur les petits fruits rouges et la pêche. La bouche est à la fois vineuse et fruitée, avec une bonne acidité et une finale sur la fraîcheur. |
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Vincent Dasnoy La robe est saumonée (très) clair, teinte très en vogue pour les rosés, et ça les rend plutôt attirants. Le nez révèle de la pêche et des petits fruits rouges, mais aussi des arômes de gueuze. La bouche est fraîche, plutôt charnue, avec une légère amertume. Autant de fraîcheur que pour le 2013 goûté juste avant (malgré moins d’acidité à l’analyse), et un côté moins vineux, davantage sur le fruit. |
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Vincent Dasnoy Je m’attendais à un vin plus puissant, chargé de soleil, mais ce Vacqueyras sur ce millésime est plutôt un vin fruité, à la structure souple. Le nez est assez plaisant, avec du fumé, des épices, du poivre, de la violette et des fruits rouges. La bouche est jeune et fruitée (fruits rouges), épicée, la puissance maîtrisée, l’acidité suffisante. |
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L’arrière-grand-père d’Henri Bourlon est parti faire la conquête du Mexique avec Maximilien sous Napoélon III. Il y a fondé un famille. Un de ses petits fils, le père d’Henri Bourlon l’actuel propriétaire, est revenu en France, à Puisseguin où sa vie professionnelle fût bouleversée. Il achète le Château Guibeau et se marie avec la fille des propriétaires d’un vignoble voisin, le Château Guibot la Fourvieille. |
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Vincent Dasnoy En accord avec le millésime, cet Anthonic est un vin souple et fruité, qui se déguste bien sur sa jeunesse. Au nez on a d’abord un peu de poivron mûr qui disparaît à l’aération pour laisser la place aux fruits rouges. C’est légèrement épicé, le boisé est très discret. La bouche est celle d’un vin jeune et fruité, avec une légère amertume, la structure est souple et le finale courte à moyenne. |
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble