Parce que la sociĂŠtĂŠ Monsanto laissait entendre en 2002 dans ses spots TV et sur ses étiquettes que le désherbant Roundup était "biodégradable", « sans danger pour l’homme, pour les animaux et l’environnement », laissant « un sol propre », l’ancien président de Monsanto France (Jean-Pierre Princen) va être jugé, devant le tribunal correctionnel de Nanterre, pour « publicité mensongère ». Déjà condamné à Lyon en janvier 2007 à une amende de 15 000 euros, sachant que le groupe Monsanto a fait appel.
Source : développement durable le journal
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