Chez Giles, le romantisme côtoie toujours le côté sombre, voire gothique. Le noir est à l’honneur, tout comme les nœuds papillon, à travers ces manteaux-capes, ces robes près du corps, le tout porté sur des chemises à jabots. Puis apparait un imprimé, effet tye & dye mais beaucoup plus recherché, inspiré de certaines peintures admirées par Giles Deacon. Le volume prend son importance avec de grandes jupes portées sur des tailles fines. Il faut beaucoup de personnalités pour porter les pièces signées Giles d’où le choix judicieux des mannequins, de Jessica Stam à Aymeline Valade, de Kendall Jenner à Erin O’Connor, sans oublier la robe bustier finale, toute en plissés mise en lumière par Anna Cleveland. A noter : le maquillage : teint pâle et lèvres très sombres, limite noires, une tendance déjà remarquée à New York.