N’avez-vous jamais lu une histoire, un roman ou une petite nouvelle, qui vous a tellement plu que vous l’avez lu et relu plusieurs fois encore et encore ? Après chaque relecture, vous aviez même noté quelque chose de différent et aviez compris un nouveau message. Savez vous ce que plusieurs de ces genres d’histoires ont en commun ? Un bon éditeur d’histoires. C’est bien ça. Ces romans ont été édités pour des valeurs de développement d’histoire, et c’est pour ça que l’œuvre est si mémorable.
Comme écrivain de fiction, n’est-ce pas cet effet que vous voudriez que votre livre produise ; résonner avec les lecteurs longtemps après qu’ils aient refermé votre livre ? N’aimeriez vous pas que vos lecteurs soulignent des passages et lisent votre livre jusqu’à ce que les pages en deviennent cornées et tâchées de café ? Comme romancier, je sais que ça me plairait.
Quel est donc cet ingrédient magique qui entre en jeux lorsque votre roman se trouve entre les mains d’un éditeur d’histoires talentueux ? Le lien. Oui, ce simple mot, lien.
Laissez moi emprunter une comparaison avec un scénario de la vie réelle. Un bébé peut être nourri, gardé au propre et bénéficier de soins adéquats, mais si les liens ne s’établissent pas entre la maman (ou la personne à charge) et l’enfant, cet enfant ne se développera pas. Ce syndrome a été découvert au début dans les orphelinats où les bébés souffraient d’un abattement et affaiblissement dus à un manque de liens affectifs. Ce syndrome a été appelé la "privation maternelle."
Ce processus de liens est analogue à ce qui a besoin de se passer entre l’écrivain et le lecteur. Dans la lecture, si les liens émotionnels n’ont pas lieu entre le lecteur et l’histoire, l’écrivain perdra le lecteur. Le lecteur, en un sens, disparaîtra ou s’abattra comme un bébé en situation de privation maternelle.
Par exemple, j’ai entendu plusieurs clubs de livres dire ; "Cette histoire était plate," ou encore "Je n’ai pas pu encourager ou établir une connexion avec les personnages." Souvent, ce problème aurait pu être évité grâce à un bon éditeur d’histoires.
Voici juste quelques uns des avantages de travailler avec un bon éditeur d’histoires.
Un bon éditeur d’histoires vous aide à :
- devenir un meilleur écrivain,
- trouver des trous dans votre scénario,
- 'montrer' en opposition avec 'raconter votre histoire'
- ficeler les rebondissements de l’intrigue et répondre aux questions de l’histoire,
- développer des personnages réalistes et capturer des comportements humains dans toutes leurs subtilités,
- faire évoquer des émotions chez votre lecteur,
- écrire des dialogues plus envoûtants,
- faire en sorte que vos personnages de fiction aient l’air de personnes réelles,
- creuser dans votre cœur et produire directement de votre poitrine,
- découvrir le voyage vers la vérité ou le thème de votre œuvre.
Alors pourquoi ne pas profiter des talents d’un professionnel d’édition d’histoires pour aider vos lecteurs à se lier avec votre histoire ?<>