Le 12 février dernier, avant de prendre congé de vous, amis visiteurs, aux fins de me réserver une semaine d'effervescenceS - celle d'un peu de carnaval et celle, nettement plus ambrosiaque, de délicieuses dégustations rémoises ; d'où ce pluriel accentué à "effervescence" qui n'était évidemment en rien une erreur orthographique ou une faute de frappe ! -, nous "abondonnions " à son bien triste sort un petit veau que nous avions croisé à l'exposition du Louvre-Lens, lové sur les frêles épaules d'un jeune moscophore égyptien.
Délaissant l'esprit du vin, il me siérait, à partir d'aujourd'hui, de reprendre celui de nos précédents rendez-vous et d'évoquer pour vous la famille de ce tout jeune animal en portant, dans un premier temps, l'éclairage sur le travail essentiel que l'Égypte antique agricole attendait d'un bovidé ; puis, dans un deuxième temps, de brosser un tableau général des différentes races de bovins qu'elle connut.
Premier volet, donc : ce modèle (E 27069) à Lens jusqu'au 9 mars prochain
mais que nous avions déjà admiré le 29 septembre 2009 dans la vitrine 11 de la salle 4 du Département des Antiquités égyptiennes du Musée du Louvre, à Paris.
Raison pour laquelle je vous invite à cliquer sur mes propos d'alors.
Je vous en souhaite excellente (re) lecture.