S’il y a bien un sport où le mental est mis à rude épreuve, c’est bien le tennis! En effet, il est important d’être concentré jusqu’à ce que le dernier point soit joué sous peine de grosse désillusion. Oui mais voilà, avec une telle concentration, la moindre étincelle peut faire déjouer et dérailler la plupart des joueurs. Et parmi ceux-ci, certains sont connus pour avoir un peu plus les nerfs à vif que les autres. Ainsi, après le pétage de plomb d’Andrea Petkovic au tournoi de Dubaï suite à une décision erronée de l’arbitre de chaise qui lui coûtera le set, E-TV Sport a décidé de revenir sur ces moments de folie des joueurs et joueuses de tennis sur un court de tennis!
Marcos Baghdatis/Stanislas Wawrinka en 2012 à l’Open d’Australie: 4 raquettes détruites pour le Chypriote
Daniel Koellerer/Pablo Cuevas en 2010 au Pekao Open (challenger): Une belle simulation de la part de l’Autrichien
Xavier Malisse/David Ferrer en 2005 à Miami: Le Belge devient littéralement fou
John McEnroe/Tom Gullikson en 1981 à Wimbledon: Big Mac nous réserve son célèbre « You cannot be serious »
Mikhail Youzhny/Nicolas Almagro en 2008 à Miami: Le Russe s’autofrappe avec sa raquette
David Nalbandian/Marin Cilic en 2012 lors de la finale du Queens: L’Argentin frappe le juge de ligne dans un excès de rage et se retrouve disqualifié.
Andre Petkovic/Zarina Dyas en 2015 à Dubaï: L’Allemande se la joue McEnroe et s’en prend à l’arbitre de chaise
Marat Safin/Felix Mantilla en 2004 à Roland Garros: Le Russe baisse son short sans aucune raison apparente
Serena Williams/Kim Clijsters à l’US Open en 2009: L’Américaine fonce vers un juge de ligne et le menace pendant de très longues secondes. C’en est trop pour l’arbitre : point de pénalité et donc victoire de Clisters dans la confusion la plus totale. Serena ira tout de même embrasser son adversaire à la fin de la rencontre. Fair-play.
Fernando Verdasco/Richard Gasquet à Nice en 2010: L’Espagnol pète complètement les plombs et insulte Gasquet et le public français à coup de « Puta Madre » ou encore « Frances de mierda ».