-
Paris à la cinquième place des bourses européennes les plus attractives en 2014
-
Quelle stratégie d'investissement pour les investisseurs institutionnels ?
-
Comment tirer profit du plan de quantitative easing de la BCE ?
-
Activité soutenue pour les business angels
-
Les caractéristiques d’une opération en LMNP
Pour les débutants, il faut l’utiliser avec précaution d’autant plus que les courtiers mettent à disposition des clients des effets de levier énorme (souvent supérieur à 100) qui finissent par ruiner les apprentis traders. La priorité est donc de débuter progressivement et de toujours bien comprendre à quoi l’on s’engage. Autre point important, la fiscalité. Pour les CFD, elle est identique à celle des valeurs mobilières. Les plus-values sont imposables au barème progressif de l’impôt sur le revenu, majoré de 15.5% de prélèvements sociaux. Autre avantage, les moins-values réalisées au cours d’une même année s’imputent sur les gains de même nature réalisés au cours de la même année ou des dix années suivantes (depuis la loi de finances 2003) et ce quel que soit le montant annuel des cessions réalisées.
Si la fiscalité des CFD est plus intéressante que celle des actions, il ne faut pas oublier de prendre en compte les spreads, c'est à dire l'écart pour la fourchette entre l’offre et la demande meilleurs prix. Les courtiers CFD sont des markets makers. Ils proposent un spread d'une taille plus ou moins grande. S'il n'y a pas de frais de courtages directs à payer, il faut bien comprendre que le spread représente des frais. Ce qui est normal puisque votre courtier doit bien vivre lui aussi. Pensez juste à comparer les spreads avant de choisir votre plate-forme de trading.