Il ne suffit évidemment pas de vouloir concevoir et raconter une histoire pour y arriver. Et c’est bien tout le paradoxe : tout universel et naturellement ancré en nous qu’il soit, le storytelling réclame une certaine dose et une dose certaine de travail. Et tout aussi paradoxalement, la panne d’inspiration est plus que courante.
J’ai trouvé cette infographie (en anglais, mais simple) : elle est très intéressante, parce qu’elle propose 21 techniques pour trouver des idées de contenus intéressants, et donc également de storytelling :
En cas de difficultés de lecture de l’infographie
Certaines sont assez disruptives : choisir la plus mauvaise idée, parce que rien ne peut être totalement négatif, par exemple. Ou encore faire des doodles (vous savez, c’est ce que fait Google tous les jours avec son logo -ils transforment l’existant d’un coup de crayon). Ou bien encore, appeler un ami, comme dans les jeux télévisés, chercher de l’inspiration dans un secteur totalement étranger au sien… Marcher, rester silencieux (donc, parfois, c’est carrément en ne faisant tien qu’on peut trouver l’inspiration, pourquoi pas)…
Bref, 21 techniques à tester, surtout. J’avoue que j’utilisais déjà certaines d’entre elles en intervention.
Bon, ce n’est pas tout. Pour stimuler ce fameux storytelling, il n’y a bien entendu pas que ces 21 techniques.
Il y a même des gens qui disent que nous sommes tous des génies : Elizabeth Gilbert en est persuadée en tout cas, et l’explique dans ce TED Talk.
Et pour aller encore plus loin, un MOOC vient de démarrer sur Coursera, pour développer sa créativité quotidienne.