J'ai fini ce week-end les 5 saisons de Brothers & Sisters avec seulement 5 ans de retard. 110 épisodes (en trois mois), des heinheinhein, quelques palpitations, des soupirs, des imprévus, des j'le savais, des c'est pas vrai, des putain noooon!, des c'est ridicule, des pfious et des mouh.
Brothers & Sisters est une série facile, un peu trop parfois. J'ai souvent un oeil sur ma télé et l'autre sur mon tricot ou carrément la tête dans le four. Poto idéale des soirées hivernales, c'est le petit grog qui relaxe et revigore. On peut dire que c'est cheesy, souvent téléphoné, mais tout de même feel good et facile à digérer. Un guilty pleasure à watchbinger sans culpabilité.
Les drames familiaux qui nouent et dénouent les liens de Walker et ceux qui les entourent rythment cinq saisons inégales durant lesquelles, les tests adn sont aussi courant que les cosmos dans Sex and the City.
Les persos sont attachants, nunuches mais pas complexés de l'être, certains scénarios n'ont de vraisemblance que dans notre imaginaire où notre cerveau aurait été débranché.
Au casting, on retrouvera quelques visages familier dont Calista Flockart (ex Ally Mc Beal). Emily VanCamp (future Emily Thorne), Rachel Griffiths ( Six Feet Under), Sally Field et qu'on ne présente plus.
J'ai aimé, beaucoup aimé la fin (je ne spoile rien), où Nora cite George Eliot: It's never too late to be what you might have been.
Cet article n'était qu'un prétexte pour vous relater cette citation.
7/10(désolée pour cet horrible trailer)
Au prochain episode, je vous dis pourquoi il faut absolument regarder Jane The Virgin.