Alan Parsons Project #5:
Eric Woolfson: chant, claviers
Ian Bairnson: guitare
David Paton: basse
Stuart Elliott: batterie
Alan Parsons: claviers
Mel Collins: saxos, flûte
Après le carton de "Eye In The Sky", c'est un Project confiant qui publie en février 1984 l'album "Ammonia Avenue" (#24 UK-#17 US), produit par Alan Parsons.
Prime time
Let me go home
One good reason
Since the last goodbye
Don't answer me
Dancing on a highwire
You don't believe
Pipeline
Ammonia Avenue
(E.Woolfson-A.Parsons)
Chanteurs:
Eric Woolfson (Prime time, One good reason, Don't answer me & Ammonia Avenue)
Lenny Zakatek (Let me go home & You don't believe)
Chris Rainbow (Since the last goodbye)
Colin Blunstone (Dancing on a highwire)
Musicien additionnel:
Ken Zidar: basse
Une autre réussite du groupe qui sera l'album le plus populaire dans leur pays d'origine et dans beaucoup de pays d'Europe, aidé en cela par le clip vidéo animé du single "Don't answer me" (#58 UK-#15 US), un clip particulièrement réussi.
Deux autres singles: "Prime Time" (#34 US) et "You don't believe" (#54 US) sont devenus des classiques du groupe.
Un seul instrumental (fait rare pour le groupe), "Pipeline".
l'Alan Parsons Project, qui n'a jamais été réellement un groupe de rock progressif (car pour moi, n'offrant pas une musique aussi complexe et passionante que les Yes, King Crimson, ELP, Gentle Giant, ou le Genesis des débuts) mais qui flirtaient régulièrement avec ses codes et gimmicks, s'en éloignent de plus en plus pour se rapprocher d'une pop mainstream.
Ce virage amorcé depuis "Eye In The Sky" va causer certainement l'abandon d'une large partie du public fidèle du prog rock pour un public plus large mais moins stable de la pop internationale.
"Don't answer me" sera d'ailleurs le dernier grand succès du groupe.
Mel Collins quitte ensuite le Projet, remplacé par le multi-instrumentiste Richard Cottle.
© Pascal Schlaefli
Urba City
17 Février 2015
Du même auteur:
Serial Angel
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