Toujours au chapitre de la rénovation urbaine, il y a des rapprochements qui intriguent. Ainsi sur la grande pancarte ci-dessus, on nous annonce que la Ville "...redresse la rue de la Résistance". Ce sont des mots, rien que des mots. N'empêche, les mots sont parfois... incompatibles, c'est ça ? Justement, à la remise des prix du Concours départemental de la Résistance, j'ai croisé Marcel Petit qui intervient souvent comme témoin dans les classes en France et en Allemagne. Résistant, il fut déporté en juin 1942 à l'âge de 14 ans, direction le camp de Bergen-Belsen. L'anecdote du "redressement de la rue de la Résistance" l'a fait sourire. Parce qu'il en a vu bien d'autres et que le ridicule ne tue pas, lui. Pour reprendre la formule d'Albert Einstein entendue lors de cette remise de prix :"Le monde est dangereux non pas tant à cause de ceux qui font le mal qu'à cause de ceux qui regardent et laissent faire". Merci pour votre lecture ! Thank you for reading !
Toujours au chapitre de la rénovation urbaine, il y a des rapprochements qui intriguent. Ainsi sur la grande pancarte ci-dessus, on nous annonce que la Ville "...redresse la rue de la Résistance". Ce sont des mots, rien que des mots. N'empêche, les mots sont parfois... incompatibles, c'est ça ? Justement, à la remise des prix du Concours départemental de la Résistance, j'ai croisé Marcel Petit qui intervient souvent comme témoin dans les classes en France et en Allemagne. Résistant, il fut déporté en juin 1942 à l'âge de 14 ans, direction le camp de Bergen-Belsen. L'anecdote du "redressement de la rue de la Résistance" l'a fait sourire. Parce qu'il en a vu bien d'autres et que le ridicule ne tue pas, lui. Pour reprendre la formule d'Albert Einstein entendue lors de cette remise de prix :"Le monde est dangereux non pas tant à cause de ceux qui font le mal qu'à cause de ceux qui regardent et laissent faire". Merci pour votre lecture ! Thank you for reading !