Je vous ai déjà dit que j’aimais Stromaé ? Non ? C’est normal, ce n’est pas le cas. Non je plaisante. Il faut dire que je ne regarde pas spécialement les chaines musicales et j’écoute encore moins la variété. Mais, Stromaé, c’est un mec particulier tout de même. Je l’ai découvert un peu par hasard, il y a quelques années avec ses leçons (la faute à des amis musiciens). Et j’ai surtout appris à le redécouvrir à chacune (enfin pas toutes, il ne faut pas exagérer) de ses “sorties”. Comment parler d’autre chose quand il ne s’agit pas “que” de musique. Cela m’intriguait. Alors, quand le maestro a annoncé (à tort) sa fin de carrière… j’ai profité de la période d’hibernation des fêtes pour me pencher sur la question. Avec flegme et bienséance, évidemment.
Au sortir de l’exploration (oh oui employons les grands mots), une théorie. Ou du moins comme dirait Houellebecq, “la possibilité d’une explication” : Stromaé est un artiste qui fait progresser ses fans. Ca m’a tellement plu comme idée, que je me suis dit : “Allez ça doit bien intéresser au moins douze personnes dans l’univers”. Dont acte.
Si vous voulez aller plus loin dans l’analyse du succès de Stromaé… et plus globalement sur la valeur ajoutée et la relation qu’il propose à son public, suivez le chemin : Stromaé, l’artiste qui fait progresser ses fans.
Et à votre écoute pour la discussion… ! (c’est fait pour).
Création visuelle : Bilel Kilani