Il faudrait donc s'en réjouir.
La France avec un F majuscule et une chambre d'égo pour le trémolo-
vient de vendre à l'Egypte le fleuron de son aviation militaire,
le fameux "Rafale" que l'on cherche à fourguer depuis ...
Heu! depuis...
Notre belle patrie de l'étroit de l'Homme ne peut qu'applaudir bien sur, à une vente d'arme qui la replacerait ainsi en troisième position mondiale des boutiquiers de la mort à crédit.
J'ai bien dit- à crédit- puisque en écoutant d'une oreille matinale et légèrement distraite quelques spécialistes patentés en économie de marchez sur les platebandes, il semblerait que les 5 milliards du contrat ne rentreraient pas forcément comme ça -Et topez là! Mon pote- dans les caisses de notre béate et tricolore nation.
Voui! c'est plus compliqué que l'on s'imagine, et d'ailleurs: Vous allez rire-Ah! ah! ah! Finalement, par des combines dont nos grands argentiers ont le secret, c'est ptêt hu!hu!hu!le contri-buable franchouille vous z'émoi côa, qui au bout du compte (et je retiens 5) paiera la note.
On y comprend rien et c'est tant mieux n'est-ce pas...
D'ailleurs si on devait tout savoir
dans quel Etat on serait?
Hein(g)?
Imaginons par exemple que l'on nous fasse la liste de tous les opposants égyptiens torturés, assassinés, homosexuels raflés, pourchassés, emprisonnés, femmes lapidées...depuis que le Maréchal voili le voilà -Al Sissi (surtout pas un conte de fées) a pris le pouvoir dans la rieuse république égyptienne pour touristes -lettrés retraités en quête d'authentique ...mirage (sous les rafales du désert).
Et là mon délégué syndical (toutes couleurs confondues) me tape discrètement sur l'épaule et me fait signe de la boucler. On ne va quand même pas faire la fine bouche quand il s'agit de nourrir les travailleurs et leurs progénitures. Suffit juste de regarder sa feuille de paie plutôt que les dommages collatéraux et le tour est joué.
D'abord et circulez: Rien n'empêche -pour la conscience 1er classe- de faire un chèque à Noël à handiclap international.
Crimée châtiment
Il faudrait aussi se rassurer d'un accord marathonien et au forceps signé entre les dirigeants autoproclamés de l'Europe étoilée, le nouveau Tsar des Russies et le président d'un
Etat slave oriental, cosaque, annexé et fourre tout,
D'ailleurs il n'en revient pas lui-même Loukachenko qui rime avec bièlo d'avoir réussi pour quelques heures à faire déplacer dans son palais aussi grandiose et sinistre que son moi profond toute la presse du monde , se gavant de délicats ptits fours en attendant de voir la fumée sortit du pantalon de Vladimir vaisselle qui détache et Kalache plus vite que son ombre.
Et là mon délégué syndical (les couleurs revenues) me broie discrètement l'autre épaule en me faisant signe que ça commence à bien faire mes conneries, qu'il y a des rafiots en train de rouiller dans le port et que faudrait voir à pas fâcher... surtout quand il s'agit de nourrir les travailleurs et tout le saint Frusquin qui va bien.
photo source Presse-Océan
Voilà c'est décidé,
vendredi 13jour du gratteur niais
après réflexion et re-lecture en boucle de philosophes ou poètes chez qui je me réfugie de mieux en plus pour supporter l'hiver, et puis aussi pour rester dans l'esprit Charlie comme disent en coeur tous les faux culs cravatés ou pas qui l'on jamais lu mais s'en servent pour leurs futures échéances électorales, des fois que..), j'ai donc décidé de rire aux éclats d'obus , de glousser t'assez, de faire risette comme un maire qu'en voeux , de m'esclaffer dans l'escalier, de me bidonner au pinot noir c'est noir, de m'éclater la foi en mille morceaux et que ça gicle partout, de pouffer n'est pas jouer, de persifler dans la nuit, de ricaner aussi appliqué que bêtement, de me tordre les boyaux-Yo! , de me gondoler dans une Californie bretonne qui se rit de quelques pôvs et incultes jacobins cherchant encore et toujours (comme au bon vieux temps?) à nous noyer dans la Loire,
de rioter à vos souhaits, de me dérider le sénior , de me poiler la galette saucisse, d'ironiser en regardant repasser le train train de l'Histoire, de me désopiler à la cire d'abeille, de narguer les amarres,
de brocarder mon insignifiance et fière de l'être...
et en toute logique de me foutre de ma tronche
pisqu'on
nez
ou
nait
jamais si bien sévit que par soi-même.