(8 pages)
La critique va être assez rapide vu qu’il s’agit d’une petite nouvelle à propos d’un garçon invisible solitaire et qui rend tout invisible autour de lui.
Je ne dirais pas que les prémisses sont inintéressantes, il s’agit d’une autre approche par rapport à L’homme invisible de H.G. Wells et on peut s’attendre à des questionnements philosophiques passionnantes, peut-être même un rapprochement entre son état « physique » et son émotion vis à vis des autres et de la vie.
Il s’agit sûrement de mon côté écrivain frustré par une idée aussi mal exploitée puisque l’auteur ne va pas au-delà de son intrigue qu’il rend simpliste: un garçon invisible qui disparaît. Et c’est tout, on aura pas plus que cela, pas plus à part une vague tentative de rendre le garçon sympathique en parlant d’une vie difficile.
Bref, j’étais assez déçue du manque d’originalité étonnant par rapport à un sujet aussi ambitieux.