De qui parle-t-on ? :
Chanteur et musicien Israélien, actif depuis 2000.
De quoi parle-t-on ? :
Folk ,rock, pop tantôt joyeux ou tantôt triste, Asaf Avidan est un vrai crooner à l’ancienne capable d’exceller dans tous les genres.
Rythme :
- Je me suis endormi dans mon fauteuil
- Ne me perturbe pas quand je lis en même temps
- Mes pieds se mettent à bouger
- Je me lève et je fais la danse de l’épaule
- Mes enfants sautent comme des cabris dans la pièce
Quelques titres mid-tempo et beaucoup de chansons très lentes.
Accessibilité :
- Après plusieurs écoutes je n’ai toujours pas saisi la mélodie
- Plusieurs écoutes sont nécessaires avant d’apprécier la mélodie
- Mélodie agréable mais sans aspérité
- Les refrains entrent directement dans ma tête
- Que des hits taillés pour les stades
Difficile de rester de marbre devant la beauté mélancolique et instantanée de Gold shadow ou de The labyrinth song.
Audience :
- Musique que madame me demande de réécouter
- Peut-être écouté en famille sans déranger madame
- Madame s’en va quand je l’écoute
- Tellement bizarre que je fais attention d’être seul pour l’écouter
- Tellement bruyant que mes voisins ne me parlent plus
Asaf Avidan a plusieurs tubes dans sa besace qui devraient faire un carton auprès du grand public.
Qualité audiophile :
- J’ai l’impression que c’est mon voisin qui écoute l’album
- Le format MP3 n’altérera pas trop l’écoute
- S’écoute impérativement en format non compressé (CD ou autre)
Musique toute en douceur, chant aigu et limpide, tout à fait adapté au format compressé.
Conclusion :
- Je l’ai écouté une fois mais c’est une fois de trop
- Après plusieurs écoutes j’ai du mal à m’y faire
- Je l’écoute facilement mais sans émotion
- J’ai beaucoup de plaisir à l’écouter
- Il tourne en boucle sur ma platine
Que les fans de James Bond et de pop ancestrale se réjouissent, la diva Galloise Shirley Bassey est de retour avec un nouvel album. Malgré son grand âge et ses rares apparitions, ces nouvelles compositions sonnent comme au plus beau des jours et prouvent que la grande dame n’a rien perdu de sa verve et de sa clairvoyance…
Oh, fucking bastard !!!
Désolé, j’ai commencé ma critique à l’oreille sans me soucier un tant soit peu de la pochette de cet opus. Honte à moi donc et rendons à César ce qui appartient à César (cette voix pourtant !). L’interprète de ces nouvelles chansons n’est autre que le crooner Israélien à la voix de fausset, Asaf Avidan.
Quelques morceaux enjoués, limite easy-listening et beaucoup de mélodies moins légères qui effleurent parfois l’inaccessible beauté d’Antony & the johnsons à leurs débuts, forment le cocktail gagnant de ce Gold shadow. Ce disque a le don de nous faire passer du rire aux larmes d’une chanson à l’autre. Les titres les plus lents donnent la chair de poule et déclenchent aisément, par leur finesse crépusculaire, nos glandes lacrymales.
Déjà auteur de Different pulses considéré par beaucoup comme un chef-d’œuvre, Asaf Avidan ne faiblit pas et dénote au contraire d'une certaine acuité dans l’écriture de pop songs enchanteresses.