Shot one. J’ai toujours eu un petit faible pour Alex Knost. Sa dégaine et son style son définitivement incomparables. AI, c’est pour moi le Petit Prince du surf. Et c’est encore plus vrai lorsqu’il abandonne son longboard pour son single…
Shot Two. Ici Ryan Burch est au plus près de ce que j’aime en ce moment, et que je tente vainement d’atteindre avec mon single 7’11… Mais rien n’est inaccessible, comme c’est d’ailleurs sublimement raconté dans Whiplash, un film juste incroyable sur le jazz et sur le dépassement de soi-même. Un film à voir rien que pour la scène finale, un océan de symboles à elle toute seule. D’une force inouïe.