1. La génération Z est très critique à l’égard de l’entreprise
Une étude consacrée à la génération Z, réalisée auprès de 3.200 jeunes par The Boson Project et BNP Paribas, a mis en exergue que les Z voient l’entreprise comme un univers « dur » (adjectif employé par 170 répondants) , « impitoyable » (63), « compliqué » (147), « difficile » (142 ) et même « ennuyeux » (44), « triste » (7) et « hostile ».
2. Ils veulent s’épanouir à l’intérieur de l’entreprise
L’entreprise doit maintenant attirer les candidats potentiels qui cherchent, outre un travail et un salaire, un milieu où ils pourront s’épanouir et se divertir. Aussi, souhaitent-ils avoir un patron à la hauteur de leur attente : un patron qui fasse confiance à son équipe (67%) et qui soit à son écoute (62%) et non un patron qui soit autoritaire et ultra-diplômé.
3. Ils veulent un engagement éthique de leur entreprise
Par ailleurs, les Z, peut-être plus conscients des enjeux sociétaux et envirronnementaux que leurs prédécesseurs, souhaitent que leur entreprise ait un véritable engagement éthique pour assurer aux générations futures une même qualité de vie.
4. Ils ont un fort désir de mobilité
Finies les carrières pépères dans la même entreprise à côté de laquelle on achétera un joli petit pavillon de banlieue où l’on regardera ses enfants grandir, les Z veulent voyager (37%) et travailler à l’étranger (69%).
5. Ils n’ont pas le même rapport à la connaissance
On le savait déjà, l’école n’a plus la côte auprès des jeunes et encore moins auprès des Z qui envisagent l’accès à la connaissance autrement. Ils favorisent en effet l’auto-apprentissage aux diplômes et accordent la même valeur aux connaissances apprises à l’école, dans un tutoriel Youtube ou dans un MOOC.
6. Ils favorisent leur réseau et sont plus tentés par l’entrepreneuriat que leurs aînés Y
Plus débrouillards que les Y, les Z favorisent leur réseau pour réussir et ils sont surtout plus intéressés par l’entrepreneuriat : 47% des moins de 20 ans aimeraient créer leur propre entreprise.