La
médecine allopathique a décidément bien du mal à se remettre en
question: après avoir fait inutilement peur aux gens lors de la pandémie
bidon de H1N1 en agitant le spectre d'une ressemblance du virus porcin avec le virus de la grippe espagnole ,
voilà que se préparent pendant ce temps-là, toujours plus activement,
les futures pandémies tant annoncées. Un certain pourcentage de citoyens
(endormis au gaz) continuent de croire que l'establishment
médico-scientifique veille à leur meilleure sécurité en étudiant les
moyens les plus efficaces de gérer les risques infectieux...
Pourtant, il s'avère en réalité que le virus de la grippe espagnole n'était pas le virus en soi/ à lui seul hypervirulent
qui a été dépeint mais que ses conséquences les plus funestes étaient
dues au traitement tout à fait inadapté qui était alors préconisé par la
médecine classique, à savoir l'aspirine à haute dose (considérée comme
anti-douleur anodin). Ce traitement par aspirine a en fait favorisé des
pneumonies bactériennes secondaires qui constituent la véritable cause
des décès. Le Dr Taylor de Philadelphie déclarait à l'époque: " Certains peuvent résister à l'aspirine, d'autres peuvent résister à la grippe, mais personne ne peut résister aux deux". L'excellent article de Nexus qui évoque les faits liés à la grippe espagnole poursuit: "De
1950 à 1980, des milliers de décès d'enfants souffrant de grippe et
d'une autre affection, le syndrome de Reye, sont restés inexpliqués
jusqu'à ce que l'acide acétylsalicylique (= aspirine) ait été identifié
comme le facteur principal".
Gripe espagnole de 1918 à Montréal
En
comparaison, les homéopathes qui traitaient les patients atteints de
grippe à l'époque et qui ne recouraient pas à l'aspirine mais à des
remèdes comme GELSEMIUM ou BRYONIA, obtenaient des taux de décès 10 à 30 fois inférieurs (cf pp 14 à 18 dans le lien précédent + aussi ici),
ce qui montre bien l'erreur flagrante de la médecine officielle qui
reste hélas la seule à imposer ses prétendues "solutions" (= VACCINS +++
et antiviraux) dans le cadre de la préparation aux prochaines pandémies
tant attendues. Il faut évidemment être assez aveugle au vu de ce qui
est rappelé ci-dessus pour ne pas s'inquiéter de ce monopole idéologique
et pratique que la médecine allopathique autoritaire exerce sur le
choix de ces prétendues solutions qui risquent à tout moment d'être
imposées par la force au nom, bien sûr, du prétendu "plus grand Bien de
tous"!
Ne
pas tirer les leçons des erreurs anciennes est grave, s'entêter dans
l'aveuglement et l'idéologie est grave et menace littéralement la santé
de milliards de gens sur cette terre. Les prétendus experts qui ne
cessent de recommander la conception, la distribution et l'achat de
nouveaux vaccins et de nouveaux antiviraux doivent être considérés pour
ce qu'ils sont et avec la plus grande circonspection: comme des
personnes éminemment liées au monde de la pharmacie et dont l'étroitesse
de vue quant à l'éventail possible des meilleures solutions est liée au
contexte socio-éducatif dans lequel ils ont évolué. N'oublions pas que la médecine allopathique et ses effets est la TROISIEME cause de mortalité dans un pays comme les Etats-Unis, juste derrière les maladies cardiovasculaires et le cancer, avec plus de 225 000 décès annuels! Si on fait un petit "tableau" des dégâts collatéraux de la médecine officielle aux USA (basé sur les données d'une étude officielle parue dans The Journal of American Medical Association (JAMA) sous la référence suivante: Starfield,
B. (2000, July 26). Is US health really the best in the world? Journal
of the American Medical Association, 284(4), 483-485.), on arrive aux
chiffres suivants:
- 12 000 décès dus à des opérations chirurgicales inutiles
- 7000 décès dus à des erreurs médicales dans les hôpitaux
- 20 000 décès dus à d'autres erreurs dans les hôpitaux
- 80 000 décès dus à des infections dans les hôpitaux
- 106 000 décès dus à des effets secondaires de médicaments prescrits
Accéder ici à l'article du Nexus n°89 sur les mensonges liés à la grippe espagnole
Source : AlterInfo