A deux ans de la prochaine élection présidentielle, l’élection partielle du 8 février a de quoi laisser rêveur. Entre les partisans du ni-ni, du vote blanc, ou ceux qui courageusement appellent à faire barrage au parti d’extrême-droite, on a droit à une bien belle cacophonie pour un enjeu somme toute limité. Toutes proportions gardées, on voit, aux réactions qui ont secoué l’UMP ces derniers jours, ce qui pourrait se passer dans le cas où les candidats du Parti Socialiste et du Front National se retrouvaient en duel au second tour de la présidentielle de 2017…
Quel sera le résultat de ces tergiversations? Au-delà du second tour de cette élection locale, qui devrait voir la victoire du candidat socialiste (sauf surprise), quel sera l’impact de ce manque de cohésion à la tête de l’UMP? Nicolas Sarkozy est-il encore capable de diriger la parti qui l’a porté au pouvoir il y a dix ans? L’UMP tiendra-t-il encore deux ans dans cet état sans exploser?
Premiers éléments de réponse ce dimanche soir.
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