Il n’a sans doute pas échappé aux
plus fidèles des lecteurs de ce blog que je n’ai pas eu l’occasion, depuis
plusieurs mois, d’annoncer un rendez-vous de dédicace ou participation à un
salon.
Ainsi que je m’en étais confié à
certains, la différence entre ce qui m’avait été annoncé par mon éditeur avant
la signature du contrat et la réalité de son dynamisme était pour le moins
abyssale.
Toutes les démarches auprès des
libraires ont été faites par mes soins ou sur mes indications, d’où une tension
dans nos relations.
En début de semaine, un courrier
d’un mandataire judiciaire m’informait de la faillite de l’éditeur, m’invitait
à m’asseoir sur mes droits et m’indiquait que je pouvais, si je le souhaitais,
récupérer le stock de mes livres à condition que ce soit à mes frais.
Mais cette nouvelle est un mal
pour un bien, et je rencontrais hier vendredi une éditrice locale avec qui je
projetais de travailler depuis un moment, mon deuxième opus pourrait voir le
jour dans le courant de l’année !