Je les croise depuis 2009, quasiment quotidiennement. Parfois photographiés et publiés, bien que la dernière fois remonte à trois ans, si je n'inclus pas une page consacrée à Codex Urbanus. Des visages d'hommes surtout et de femmes moulés, sculptés, peinturlurés, gribouillés, érodés, cassés, brisés... Mais, toujours présents sur les murs de Paris.