C’est pourquoi un bon entrepreneur investit quand un nouveau produit fait ses preuves et qu’il est sur une bonne lancée.
Ensuite quand il a atteint sa maturité, on ne fait que l’entretenir et empocher des profits avec des investissements modestes sur ce produit.
Finalement, c’est la période de déclin du produit. On coupe les dépenses, on empoche ce que l’on peut et on prépare la mise au rancart du produit.
Au lieu de faire comme dans l’entreprise privée et arrêter les investissements, Loto-Québec a investi 305 millions sur le Casino de Montréal et vise maintenant le marché des jeunes.
En visant un tel marché, est-ce que Loto-Québec répond à une commande de gérer le jeu au Québec ou de développer le jeu? Deux mandats très différents.
Peut-être qu’avec la baisse des profits, il faudrait envisager de couper les gros salaires des équipes de marketing de Loto-Québec. De haut salariés qui se battent pour justifier leurs salaires et la continuité de leur emploi.
Il y a quatre ans, nous avions déjà questionné cette stratégie de Loto-Québec de viser les jeunes dans leur plan de développement.
Illustrations en prévention du jeu compulsif.
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