Avant-hier, amis visiteurs, j'ai souhaité vous faire (re)découvrir le premier d'une série de quatre articles parus voici exactement deux ans, dédiés à cet animal peu commun qu'était l'oryx dont plusieurs représentations figuraient au sein même des fragments peints arrachés au mastaba de Metchetchi sur lesquels, à l'époque, j'attirais votre attention, morceaux de parois que l'on peut toujours admirer dans la grande vitrine 4b de la salle 5 du Département des Antiquités égyptiennes du Musée du Louvre.
C'est parce que l'exposition actuellement en cours au Louvre-Lens mettant en scène le bestiaire égyptien donne à voir au moins deux cuillères à offrandes qui épousent les formes de ce gracile animal que j'ai choisi de rééditer certaines de mes interventions d'alors et, ce matin, de vous en proposer une deuxième, qui explique les raisons pour lesquelles il apparaît dans des scènes funéraires.
En voici le lien.
Excellente lecture à toutes et à tous.