Un an déjà. Heureusement et malheureusement. Le temps assez vite pour que nous nous rapprochions chaque jour d'une nouvelle libération, son départ. Malheureusement, parce que, quatre années, c'est encore, long, très long, trop long, et que nous ne savons pas ce qu'il peut encore nous réserver, de pire. Car en une année, la France s'est enlaidie, appauvrie, endettée encore plus. La liste des mensonges est impressionnante. Et c'est bien sur concernant "les droits de l'homme" qu'il est le plus évident et le plus scandaleux : discours humaniste, fondé sur la référence aux Lumières et à la Déclaration, politique internationale favorable à des relations et des accords avec des régimes et des leaders dictatoriaux, criminels. Les électrices et les électeurs qui avaient surinterprété la lapallissade du "travailler plus pour gagner plus" ont désormais les yeux ouverts : rarement, ils travaillent plus, puisqu'ils ne le décident pas, et lorsqu'ils le font, c'est, certes, pour gagner plus, puisqu'il y a une constante proportion entre le temps de travail et la rémunération, mais au final, c'est pour gagner moins, puisque l'économie réelle est devenue hautement vampirique, dévorant le fameux "pouvoir d'achat". Pour le comprendre, il faut donc