Comment diable en vient-on à faire un disque pareil après nous avoir livré tant de merveilles au fil des ans ? Déja la version "Diana en porte-jaretelles" de 2012 ne nous avait guère convaincu, mais au moins y trouvait-on quelque réconfort dans la (très) relative originalité musicale. Cette fois, c'est un immense bol de soupe lyophilisée que nous sert la jolie Diana, semblant ainsi confirmer la disparition d'une formidable artiste de jazz.
Résumé : Diana, dêpeche-toi de payer tes impôts.