C’est officiel, Katsuhiro Otomo, auteur de la série culte AKIRA, de ZED et de Steamboy, est sacré Grand Prix Angoulême 2015 !
Pour rappel, ce grand monsieur de la BD a écrit et dessiné le manga culte « AKIRA ».
2030. Néo-Tokyo est devenue une gigantesque poubelle high Tech. Tetsuo, Kanéda et leur bande de jeunes du centre d’insertion et d’apprentissage professionnel foncent dans la nuit sur des motos volées, sans autre but que de repousser toujours plus loin les limites du speed. Quand ils croisent un drôle de petit garçon au visage de vieillard, leur premier réflexe est de l’agresser mais cette créature perdue possède un étrange moyen de défense… Ils viennent de faire connaissance avec le no26 et de franchir, sans s’en rendre compte, la première étape d’un processus irréversible : le réveil d’Akira…
Chef d’œuvre du 9ème Art, AKIRA a séduit plus d’1 millions de lecteurs en France. Il est disponible en 6 volumes Noir et Blanc, collection Seinen, 364 pages (Editions Glénat)
Haruko est une jeune fille qui suit des études d’infirmière. Elle s’occupe de Kijuro, vieillard malade. Mais le vieil homme est choisi pour expérimenter un nouveau système d’aide aux malades entièrement informatisé : Z 001. Cette machine permet un suivi médical complet, mais le patient est malheureux car il est privé de chaleur humaine. Alors qu’Haruko tente d’extraire Kijuro de sa machine, cette dernière devient folle ! Et si, au milieu de cet appareillage sophistiqué, le malade était devenu une sorte de micro-processeur humain, faisant corps avec une nouvelle génération d’ordinateurs… …et de Steamboy, un flamboyant anime steampunk, sorti en 2005 sur les écrans.
En 1866, en Angleterre, le jeune Edward Steam, un inventeur de génie, reçoit un colis particulier de son grand-père, éminent scientifique lui aussi : une sphère noire qui contiendrait une source d’énergie ultime en condensant la vapeur dans des limites encore jamais atteintes par l’homme. À peine est-il entré en possession de l’objet qu’il est pris en chasse par une organisation secrète désireuse de lui dérober son bien. Et son commanditaire n’est autre que le propre père d’Edward !