Un album d'Igorrr, c'est un peu comme la gaule du matin : on comprend pas trop la mécanique mais c'est toujours sympa. Le dernier né ne déroge pas à la règle : ça envoie dans tous les sens, ça break, parfois avec élégance, parfois avec la classe d'un molard. Mais dans tous les cas, ça reste une tuerie.
Résumé : la bande son d'un cauchemard érotique.
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