La voilà, la dernière ligne droite vers les 21 techniques et astuces de storytelling pour une connexion plus efficace avec l’auditoire. Je dis bien connexion et non pas communication, un mot qui n’a plus vraiment de sens.
Dans un premier article, nous en avions exploré 7 et dans un second, nous avions poursuivi la collection du n°8 au n°14 (de Dangel, pas de Chanel).
15. Interactivité
Avec tout le panel des outils aujourd’hui disponible, ce n’est pas un problème de technique, ni même de volonté, mais d’orientation public. C’est à dire : soyez interactifs là où l’auditoire a envie de l’être, parce qu’il est familier de ces outils, et y est déjà interactif à titre personnel. Si l’art, au départ expression d’une personne, l’artiste, a réussi à le faire, il n’y a aucune raison de ne pas pouvoir y arriver.
16. Soyez visuel
Une image vaut 1000 mots, c’est connu. Mais les mots peuvent être visuels eux aussi. Il y a plein de manières d’être visuel.
Cette vidéo d’une experte en la matière, Nancy Duarte, vous éclairera sans doute :
17. Choisissez un protagoniste dynamique
Un héros mièvre n’intéresse personne. Il faut au contraire qu’il souffre, qu’il soit challengé, qu’il lutte.
18. Choisissez un protagoniste statique
Ok, il est dynamique, mais il ne doit pas être une girouette. On n’aime ni les mièvres, ni les lunatiques. Ne faites pas “subir” votre personnage à l’auditoire, sinon, ils ne resteront pas.
19. Mettez-y vos émotions
Si c’est pour ne faire que du factuel, pas la peine de vouloir faire du storytelling ! Il faut, derrière tout cela, que vos émotions transparaissent (à travers les personnages ou de toute autre manière).
20. Avez-vous un point culminant ?
Vous, enfin votre histoire !
21. Donnez-nous une fin