L’être si cupide de grandeur est-il adulte en son âme,
Ce besoin de reconnaissance ne nourrit-il nombre de doutes,
Ne voile-t-il nombre de regrets,
Lui est-il si difficile d’être anonyme en son existence,
En tout le plaisir de son intime science,
Sera-t-il l’idole d’un temps bien vite révolu,
Mais qu’en sera-t-il de sa divine célébrité au sein même de son éternité,
Qu’il se soucie bien davantage du succès perpétuel de l’oeuvre de son amour,
Toujours ses nouveaux jours diront sa véritable grandeur.