Plus tard, elle désigne tout autant le lieu de torture (un bon vieux cachot humide) que la torture elle-même, le supplice, bref, tous les moyens douloureux pour arracher des aveux à des (présumés) criminels.
Enfin, de nos jours, on emploie géhenne pour signifier une souffrance physique -mais aussi morale- intolérable (l’intégrale de Christophe Maé, Plus belle la Vie en boucle, Vincent Lagaf’ en spectacle… Le choix est vaste) . Géhenne est donc un synonyme de calvaire, supplice, martyre…
Donc, à moins d’être sévèrement (sado) masochiste, l’adage dit vrai : Là où il y a de la géhenne, il n’y a pas de plaisir.
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