« L’homme sans maladie »
GRUNBERG Arnon
(Héloïse d’Ormesson)
C’est l’histoire d’un presque suisse, architecte de son état. Un richissime client lui propose de créer ce qui deviendra le futur opéra de Bagdad. Le mécène est en effet un passionné d’opéra (et de Puccini en particulier). Le jeune architecte se rend à Bagdad. Ca se passe mal, très mal pour lui. Mais il finit par s’extirper du guêpier irakien. A peine rendu en Helvétie (à Zurich, son point d’ancrage), voilà que d’autres mécènes lui proposent de concevoir le projet d’une bibliothèque à Dubaï. Le jeune homme repart pour Dubaï. Et là, très vite, ce qui lui advient est encore pire que ce qu’il a vécu à Bagdad.
Un récit kafkaïen ? Bof. Un produit dans l’air du temps qui lassa bien vite le Lecteur puis qui l’irrita en raison de la multiplication des poncifs, des redondances, des lieux communs.