De notre envoyé spécial en Grèce.
En ce dimanche 25 janvier 2014, je ne vais pas évoquer le moyen-âge néolibéral qui sévit encore en France. Non, c'est un jour de fête, aboutissement de longues luttes, fin de souffrances inutiles sur l'autel du marché, et surtout départ d'une nouvelle ère de progrès social.
Aussi, pont de barbarie financière, point d'oxymore, point de novlangue et de merde dépeinte en caviar par la caste des éditocrates...
Par conséquent, point de loi Macron, dernier avatar d'un monde réactionnaire agonisant où l'oligarchie et le grand patronat règnent en maître avec la complicité zêlée d'une gauche social-démocrate qui s'est noyée dans le carriérisme et l'opportunisme en perdant un à un ses fondamentaux.
En ce jour, l'espoir est en marche en Grèce et Europe...
Lundi, Alexis Tsipras accueillera un à un les membres de la Troïka pour leur expliquer avec patience et avec pédagogie la politique du gouvernement Syriza :
Oui, Syriza est prêt...