Je reprendrai les billets bouffes dans la table du Faucon un autre jour. Mais ce soir Falconette m'a proposé de le cuisiner le gratin chou-saumon-chorizo que j'adore.
Il se boit avec du rosé de chez moi (Lirac, ou Tavel). Et c'est magnifique. C'est un plat de fin d'été, mais comme il n'y a plus de saisons...
Je m'excuse d'avance auprès de certains commentateurs aztèques. Je leur proposerai ma sainte et pure pensée sur le monde qui nous entoure un autre jour...
Je ne sais pas si notre blogosphère (politique ou non) est en crise ou non. Mais ce que je sais,
c'est qu'il faut bloguer comme on le sent. Sans se prendre le chou. Sans s'emmerder avec des commentateurs qui veulent titiller ou emmerder, gratuitement ou pas.
Ca me rappelle le billet que j'avais écrit cette semaine, où j'avais relayé des phrases d'H16. Une personne pas très intéressante est venue régler ces compte avec Nicolas, raillant cette "liberté d'expression" qui supprime des commentaires de casses-couilles. C'est delirant ces personnes qui confondent expression et pétage de gonades.
Je suis tolérant et ouvert. Certains disent aussi de moi que j'ai un physique atypique quoique pas désagréable (mais ce n'est pas le sujet). Pourtant, tout ouvert à la liberté d'expression que je suis, je ne supporte pas l'irrespect et l'insulte. Et ceux qui viennent pour casser les couilles.
J'accueille volontiers celui qui sonne avant de rentrer chez moi pour venir discuter et boire un coup. Je sors à coup de pied dans le ionf le connard qui casse la porte de chez moi et entre avec un hygiaphone pour insulter ma famille et les proches. La liberté d'expression n'excuse pas la connerie et les emmerdeurs. Qui ne sont pas des libres penseurs mais des casses-couilles : c'est pas tout à fait pareil.
Ce que je sais aussi, c'est que c'est bien de manger des bonnes choses. Et ce soir c'était très bon.
Demain, nous parlerons de Cambadélis et d'Hervé Morin. Enfin, on verra demain.