LE LIEU. Les murs sont remplis de peintures du sol au plafond, et parfois sur plusieurs couches comme dit précédemment. On s'immerge ainsi dans l'univers du peintre, et dans celui du XIXe siècle, d'autant mieux que l'on est dans le quartier construit durant son siècle de la " Nouvelle Athènes " (voir à ce sujet l'article sur Le Baron Taylor à l'avant-garde du Romantisme), pas très loin du Musée de la Vie Romantique qui lui aussi conserve un lieu peut-être encore plus magique du XIXe (voir l'article La fabrique du romantisme : Charles Nodier et les voyages pittoresques).
LA MODERNITÉ DE SON OEUVRE. Même si la plupart des tableaux ne semblent pas finis, on a l'impression d'être parfois devant une œuvre abstraite ou expressionniste du XXe siècle, ce qui laisse pantois.
L'ABONDANCE DES PEINTURES. Il y en a partout, dont certaines gigantesques, les unes sur les autres, tellement que l'on dirait, en montant les escaliers en colimaçon, qu'elles volent au-dessus de soi.
C'est donc un musée à voir, et où amener ses enfants pour qu'ils se baignent dans cet univers un peu magique
Photographie de gauche : Cavalier. Peinture de Gustave Moreau.
Photographies ci-dessous : Derrière un tableau ... un ange ... et derrière des esquisses.
Photographie ci-dessous : Tableaux à feuilleter.
Photographies ci-dessous : Couches de tableaux et de dessins.
La Mesure de l'Excellence La Mesure de l'Excellence