Dan le année 80, ma ecrétaire et arrivée un jour en pleur dan mon bureau parce que je lui avai demandé de corriger une faute de frappe: Pour elle, faute de word, et de a magie, c'était tout à retaper! "<trong>Faire et défaire c'et toujour travailler" avait-elle murmuré en reniflant, tout en paant la porte, a manière à elle de ignaler au jeune ingénieur que j'étai que je devai bien corriger du premier coup, faute de quoi mon inadvertance était un poid pour le autre.
Aujourd'hui, on tape on corrige, on chamboule, on copie-colle, on tape à la va vite de mail, on maacre de françai par SMS...
De fil en aiguille, on rédige à peu prè le contrat notarié (ça commence à e dire que fait le Coneil Supérieur de Notaire), le cahier de charge technique, le ordre de miion, le contrat de travail...
Ne protetez pa, nou omme tou en faute! Alor on refait.. environ 100% de acte du quotidien.. Double charge pour chaque maillon.
Ca va être difficile de rebrancher le cerveau pour faire jute la première foi et économier no force façon développement durable, économie d'énergie et décollage du PIB.
Voilà, pour moi le rapport ATTALI, il aurait tenu en une eule injonction....
Ah i la econde recommandation: fermer toute le école de commerce et de marketing qui permettent de faire prendre le veie du fournieur&nbp; pour de lanterne de client! Et de généralier la notion de "marge arrière" ou comment faire payer le client inattentif, preé, réfractaire à la lecture de petite ligne,&nbp; façon "Pa vu Pa pri". Comme dirait monieur Orange pri la main dan le ac de prolonger indument un contrat "cette facture intègrera le rembourement de abonnement payé par avance"