Le rythme revient – enfin ! Une course poursuite haletante, des combats, et toujours ce combat intérieur entre l’Art et le Vif, entre le désir de Fitz de vivre sa vie et celui d’assumer ses rôles : au service de la famille royale, sa responsabilité vis à vis du prince Devoir, avec qui il partage plus que le sang. Un monde où l’on ne peut faire confiance à personne, un monde cruel où les animaux paraissent avoir plus de jugeote que les hommes…