- que les routiers ont lancé dimanche soir une grève reconductible pour les salaires juste avant la négociation annuelle obligatoire dans le transport de marchandises avec des réunions prévues demain et jeudi. La vie reprend son cours. Il va falloir suivre les nouvelles, heure par heure, sur les chaines d’information continue, afin de savoir si ça bloque un peu, beaucoup, ou pas du tout. On dit que les routiers sont les plus forts pour la grève, qu’ils ont un pouvoir considérable par leur capacité quasi unique à pouvoir bloquer le pays à eux seuls, blocage des routes, des dépôts pétroliers, des sites industriels. Pour qu’ils améliorent leur salaire, on pourrait alors leur proposer un complément de revenus, en devenant petites mains pour les autres salariés. Une petite boite d’industrie textile a un souci, une moyenne entreprise de fabrication de yaourts a un gros problème, que les employés ne sortent pas dans les rues, on appelle les routiers, ils bloquent la France et ça débloque la situation...Une opinion est un ensemble de jugements que l'on se fait. On parle d'une opinion personnelle si elle est émise par une personne considérée dans son individualité et d'une opinion publique ou populaire quand elle est portée collectivement par la société.
- que la liberté restera comme le symbole de la marche du dimanche 11 janvier. Et puis, on oubliera sans doute le pigeon qui passa au-dessus du président et qui, besoin naturel, laissa sa trace sur sa veste. Une vidéo fait aussi le tour du net : Nicolas Sarkozy qui joue au lièvre ou à la tortue, on ne sait pas trop, qui joue des coudes pour apparaître en première ligne, aux côtés de plusieurs dirigeants d’Etat, dans la manifestation massive de dimanche dernier à Paris. Ancien, ex, président, il avait une place réservée, mais au deuxième ou troisième rang. Quand on a perdu, on a perdu, on n’est plus président. On est le dernier président avant le président actuel. Donc, certains, oh les vilains, se sont moqués de sa volonté d’apparaître au premier rang, plus ou moins discrètement. Ils ont supposé qu’il voulait mieux apparaître sur les photos alors que ce n’est peut-être qu’un hasard d’avancée du cortège. Quelques voix, peu, mais quelques-unes, affirment qu’il s’est retrouvé, bien malgré lui, propulsé par la cohue. Comme quoi...On parle d'une opinion personnelle si elle est émise par une personne considérée dans son individualité et d'une opinion publique ou populaire quand elle est portée collectivement par la société.
- que la popularité de François Hollande et Manuel Valls est en hausse. Bah alors, le panel, ça ne va pas la tête, on sombre dans l’incohérence ? Record depuis le début du quinquennat, le président a gagné 9 points de popularité en un mois ; son Premier ministre, Manuel Valls, enregistre pour sa part une progression de 13 points. Mais qu’est-ce qui est arrivé aux personnes interrogées par les sondeurs qui sondent ? Ne me dites pas qu’il y a eu un effet attentat, ça va réveiller les théoriciens du complot. Certes, ils se montrés dignes devant l’ampleur du tsunami émotionnel. Mais c’était la moindre des choses, non ? Ce n’était pas la plus difficile des tâches ? C’est moi ? Ou il semble plus difficile d’endiguer le chômage que de se montrer compassionnel face à l’horreur ? Ou alors, le panel de personnes interrogées ne se plaignent plus, ou moins, de ce dont ils se plaignaient avant parce que les choses se sont améliorées dans le pays et alors donc je dis oups, au temps pour moi, je n’avais pas vu...Une opinion est un ensemble de jugements que l'on se fait. On parle d'une opinion personnelle si elle est émise par une personne considérée dans son individualité et d'une opinion publique ou populaire quand elle est portée collectivement par la société.
lundi 19 janvier 2015