Je suis au volant direction vieux-port de Montréal. Je revisite mentalement ce rêve absolument bête que j'ai fait il y a à peine quelques heures.
Je me suis réveillé en sursaut, les deux mains sur la douillette, en trouvant ce rêve d'une bêtise absolue. Je repensais à ce rêve en me disant que c'était des plans pour que j'entende pénis chaque fois qu'ils chanteront courage dans le futur, quand je reverrai la pub toxique.
La Maison de la Presse Internationale était l'un de ses endroits où on m'avait assuré qu'il y aurait des copies assurément. Et que ce serait premier arrivé, premier servi. Ces gens voulait leur copie.
"mOnSiEuR!..." J'ai commencé. "Madame!" m'a-t-il répondu, sans rapport avec rien. "J'étais ici avant tout le monde, merde" j'ai ragé. "Mais vous alliez le voler!" a-t-il complété. "Et vous, vous ALLEZ le voler!" "VOUS AUSSI!"
"Vous ne connaissez rien à propos du pénis." j'ai dit.
quoi? "Vous ne connaissez rien à propos du pénis." j'ai répété.
Calever!
Je n'avais même pas bu!
Un punk du parc Émilie-Gamelin est venu me voir. J'étais assis dans le froid. Tétanisé comme si la moitié de mon crâne était exposée au froid de la nuit.
"T'en veux une shot?" le punk m'a tendu une flasque de je-ne-sais quoi. "ça réchauffe" a-t-il rajouté.
Du whisky! ostie mon drink en plus!
"Tks, dude!" je lui ai dit. Aussi bien parler en anglais si maintenant mon français déraillait.
"Ben non! je parlais de pénisCHRIST!"
J'ai déguerpi! "Je m'appelle Charlie moi aussi!" J'ai entendu au loin.
Enfin non, justement...
Cibwère!
Vendredi de marde.
NON! aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaargh!