Broché: 224 pages
Editeur : Milady
Date de sortie : 23 janvier 2015
Collection : Romans Poche
Langue : Français
ISBN-10: 2811210768
ISBN-13: 978-2811210762
Prix Éditeur : 9,90€
Disponible sur Liseuse : OUISon résumé :
« Une parodie désopilante qui vous fera mouiller le sachet.
Comme le hasard fait bien les choses, Anna, étudiante naïve aux mensurations idéales, a rencontré un homme incroyablement riche, divinement mystérieux, et délicieusement plus âgé qu’elle. Depuis, elle passe son temps à soupirer et à se mordre la lèvre inférieure. Surmonter les cinquante nuisances d’Earl Grey ne sera pas une mince affaire. Entre son admiration sans bornes pour le groupe Nickelback, son insupportable penchant pour le goût de la Bud Light et sa singulière addiction au BDSM (Bardes, Dragons, Sorcellerie et Magie), Anna n’est pas au bout de ses surprises… et vous non plus. »
Mon avis :
Avec un titre pareil vous l’aurez compris, Cinquante nuisances d’Earl Grey est une parodie du désormais célèbre Fifty Shades of Grey.Et avec la sortie du film le 11 février prochain, Cinquante nuisances d’Earl Grey tombe à pic !Du coup tout devient ridiculement drôle !Comme son complément de titre l’indique il s’agit d’une parodie littéraire, un genre à part entière, qui répond à des règles et des codes bien établis. Parodier un roman à succès s’apparente à un récit de fan fiction mais pour l’un comme pour l’autre, cela ne signifie pas pour autant que sa construction est libre de toute contrainte stylistique. Je dirais même que c’est un exercice difficile.L’histoire suit le déroulement de FSOG, l’intrigue évolue de la même façon sauf que les éléments clés sont modifiés pour être parodiés, pastichés, accentués et caricaturés.L’auteur a tout de même fait l’impasse sur les longues descriptions et les passages qui font durer l’intrigue. Seuls les moments les plus importants et essentiels à la commpréhension sont repris.Cela donne un instant de lecture relativement court mais intense et surtout riche en fous rires.Pour apprécier complètement ce roman je pense qu’il faut avoir lu Fifty Shades of Grey. Je suis certaine que lors de votre première lecture de FSOG vous avez eu des moments de réflexion ponctués de « Rhoo c’est abusé là! », « Pff c’est n’importe quoi ce qu’elle dit » etc. Et bien l’auteur utilise tous ces instants-là pour nous faire rire, en y ajoutant une couche de ridicule et d’improbable en plus !Tout est tourné au ridicule, comme par exemple le fait qu’Anna ressente une décharge électrique à son premier contact physique avec Earl Grey, dès qu’ils se serrent la main elle sent que le courant passe entre eux… Et bien point de magie à l’eau de rose ici, Earl Grey est en réalité un petit farceur qui utilise un appareil pour envoyer des décharges au creux de la main !Et pour celles et ceux qui n’ont pas forcément apprécié FSOG, je dirais que vous allez adorer Cinquante nuisances d’Earl Grey ! Car justement le côté nunuche d’Anastasia est en puissance 1000 dans cette parodie, ça en devient drôlissime. Un livre qui se déguste avec second degré (voire au troisième!) et qui ne se contentera pas de vous faire sourire : éclats de rire à haute voix garantis !
Citation : « La vue de mon reflet dans la glace m’arrache un cri de désespoir. Ma toison présente cinquante nuances deDe quoi vous changer les idées en ces temps difficiles, de l’humour en barre, rien que de l’humour.
désordre. C’est d’un goût douteux, tendance incontrôlée. Je n’ai pas intérêt à m’endormir mouillée. Pendant que je démêle mes longs cheveux châtains, la fille du miroir, aux yeux marron bien trop gros pour sa tête, ne cesse de me dévisager.
Attendez une minute…, j’ai les yeux bleus ! Je comprends mieux pourquoi elle ne bougeait pas : voilà cinq minutes que je fixe un poster de Kristen Stewart. Ma coiffure est parfaite. Mais la situation dans laquelle je me trouve se teinte tout de même de cinquante nuances de désordre. Ma colocataire, Kathleen, a attrapé la grippe de la bouteille. Quelle grosse c…
C’était elle qui était censée interviewer le Monsieur Muscles patron de multinationale pour le magazine Boss et Canon. » Attention toutefois pour les personnes qui se hasarderaient à lire Cinquante nuisances d’Earl Grey comme on lit un roman traditionnel. C’est une parodie qui en fait des tonnes, qui insiste lourdement sur le ridicule et qui n’hésite pas à foncer dans le tas. Grâce à cette cette citation vous aurez un petit aperçu de ce que ça donne et vous comprendrez aussi qu’on y retrouve de nombreuses références au roman qui est lui-même à l’origine de FSOG j’ai nommé Twilight ! En résumé, une parodie très bien ficelée qui utilise tous les codes du genre pour tourner en ridicule nos deux héros de FSOG.
A lire et à relire, aussi bien pour les amateurs du roman que pour ceux qui l’ont détesté (s’il y en a)! Un bon moyen de prendre votre revanche ;-)
Broché: 224 pages
Editeur : Milady
Date de sortie : 23 janvier 2015
Collection : Romans Poche
Langue : Français
ISBN-10: 2811210768
ISBN-13: 978-2811210762
Prix Éditeur : 9,90€
Disponible sur Liseuse : OUISon résumé :
« Une parodie désopilante qui vous fera mouiller le sachet.
Comme le hasard fait bien les choses, Anna, étudiante naïve aux mensurations idéales, a rencontré un homme incroyablement riche, divinement mystérieux, et délicieusement plus âgé qu’elle. Depuis, elle passe son temps à soupirer et à se mordre la lèvre inférieure. Surmonter les cinquante nuisances d’Earl Grey ne sera pas une mince affaire. Entre son admiration sans bornes pour le groupe Nickelback, son insupportable penchant pour le goût de la Bud Light et sa singulière addiction au BDSM (Bardes, Dragons, Sorcellerie et Magie), Anna n’est pas au bout de ses surprises… et vous non plus. »
Mon avis :
Avec un titre pareil vous l’aurez compris, Cinquante nuisances d’Earl Grey est une parodie du désormais célèbre Fifty Shades of Grey.Et avec la sortie du film le 11 février prochain, Cinquante nuisances d’Earl Grey tombe à pic !Du coup tout devient ridiculement drôle !Comme son complément de titre l’indique il s’agit d’une parodie littéraire, un genre à part entière, qui répond à des règles et des codes bien établis. Parodier un roman à succès s’apparente à un récit de fan fiction mais pour l’un comme pour l’autre, cela ne signifie pas pour autant que sa construction est libre de toute contrainte stylistique. Je dirais même que c’est un exercice difficile.L’histoire suit le déroulement de FSOG, l’intrigue évolue de la même façon sauf que les éléments clés sont modifiés pour être parodiés, pastichés, accentués et caricaturés.L’auteur a tout de même fait l’impasse sur les longues descriptions et les passages qui font durer l’intrigue. Seuls les moments les plus importants et essentiels à la commpréhension sont repris.Cela donne un instant de lecture relativement court mais intense et surtout riche en fous rires.Pour apprécier complètement ce roman je pense qu’il faut avoir lu Fifty Shades of Grey. Je suis certaine que lors de votre première lecture de FSOG vous avez eu des moments de réflexion ponctués de « Rhoo c’est abusé là! », « Pff c’est n’importe quoi ce qu’elle dit » etc. Et bien l’auteur utilise tous ces instants-là pour nous faire rire, en y ajoutant une couche de ridicule et d’improbable en plus !Tout est tourné au ridicule, comme par exemple le fait qu’Anna ressente une décharge électrique à son premier contact physique avec Earl Grey, dès qu’ils se serrent la main elle sent que le courant passe entre eux… Et bien point de magie à l’eau de rose ici, Earl Grey est en réalité un petit farceur qui utilise un appareil pour envoyer des décharges au creux de la main !Et pour celles et ceux qui n’ont pas forcément apprécié FSOG, je dirais que vous allez adorer Cinquante nuisances d’Earl Grey ! Car justement le côté nunuche d’Anastasia est en puissance 1000 dans cette parodie, ça en devient drôlissime. Un livre qui se déguste avec second degré (voire au troisième!) et qui ne se contentera pas de vous faire sourire : éclats de rire à haute voix garantis !
Citation : « La vue de mon reflet dans la glace m’arrache un cri de désespoir. Ma toison présente cinquante nuances deDe quoi vous changer les idées en ces temps difficiles, de l’humour en barre, rien que de l’humour.
désordre. C’est d’un goût douteux, tendance incontrôlée. Je n’ai pas intérêt à m’endormir mouillée. Pendant que je démêle mes longs cheveux châtains, la fille du miroir, aux yeux marron bien trop gros pour sa tête, ne cesse de me dévisager.
Attendez une minute…, j’ai les yeux bleus ! Je comprends mieux pourquoi elle ne bougeait pas : voilà cinq minutes que je fixe un poster de Kristen Stewart. Ma coiffure est parfaite. Mais la situation dans laquelle je me trouve se teinte tout de même de cinquante nuances de désordre. Ma colocataire, Kathleen, a attrapé la grippe de la bouteille. Quelle grosse c…
C’était elle qui était censée interviewer le Monsieur Muscles patron de multinationale pour le magazine Boss et Canon. » Attention toutefois pour les personnes qui se hasarderaient à lire Cinquante nuisances d’Earl Grey comme on lit un roman traditionnel. C’est une parodie qui en fait des tonnes, qui insiste lourdement sur le ridicule et qui n’hésite pas à foncer dans le tas. Grâce à cette cette citation vous aurez un petit aperçu de ce que ça donne et vous comprendrez aussi qu’on y retrouve de nombreuses références au roman qui est lui-même à l’origine de FSOG j’ai nommé Twilight ! En résumé, une parodie très bien ficelée qui utilise tous les codes du genre pour tourner en ridicule nos deux héros de FSOG.
A lire et à relire, aussi bien pour les amateurs du roman que pour ceux qui l’ont détesté (s’il y en a)! Un bon moyen de prendre votre revanche ;-)