Les êtres s’oublient,
Ne comprennent le pourquoi de cette vie,
S’inventent un Dieu et l’accusent tout aussi de tous les maux,
Font-ils fi de leur responsabilité,
Ont-ils à ce point toute ignorance au fond d’eux-mêmes,
Doivent-ils prendre conscience que leur ensemble forme cette divinité si puissamment invoquée,
Sont-ils porteurs en leur cœur d’un éternel amour,
Aux mille pouvoirs prêt à œuvrer en cette existence,
Qu’ils se rendent à cette évidence,
Ne blâmeront-ils plus ces jours,
Les sauront-ils si utiles au progrès de leur bienheureuse destinée.