Présentation de l’éditeur
Manuel Perrine n’a peur de rien ni de personne. Puissant, charismatique et impitoyable, il abat ses rivaux avec l’aisance qu’il met à arborer des costumes de lin blanc griffés.L’inspecteur Michael Bennett est le seul flic à avoir réussi à mettre Perrine derrière les barreaux. Mais, à présent qu’il est sorti de prison, celui-ci s’est juré de l’éliminer, lui et tous ceux qui lui sont chers.
Justement, Bennett et ses dix enfants adoptés vivent dans une ferme reculée en Californie, protégés par le FBI.
Bientôt Perrine lance une campagne de diffamation, visant les personnalités les plus connues du pays. Ne disposant d’aucun indice quant à l’endroit où pourrait se cacher Perrine, le FBI décide à faire appel à Bennett… Mon avis Avec Le sang de mon ennemi, James Patterson nous livre un thriller bien construit dont le suspens va crescendo. Les premiers chapitres donnent vite le ton : massacres de deux parrains de la mafia se trouvant à cinq mille kilomètres de distance. Le donneur d’ordre n’est autre que Manuel Perrine, grand chef d’un cartel mexicain, qui se venge de ses pairs pour ne pas s’être alliés à lui. Lorsque d’autres tueries suivent, le FBI décide de faire appel à Michael Bennett, seul agent qui a réussi à mettre sous les verrous Perrine avant qu’il s’échappe. Contraint à l’anonymat et à l’isolement avec sa famille nombreuse, Bennett accepte de revenir sur le terrain. Malheureusement, le plan de Perrine est bien huilé et a une finalité que le FBI ne soupçonne pas… Chasse à l’homme, courses-poursuites, meurtres… Voici le cocktail explosif du thriller Le sang de mon ennemi. Michael Bennett a fort à faire pour arrêter Perrine et essayer de protéger sa famille qui est mise en danger depuis qu’il est de nouveau sur l’affaire. De plus, Vida, l’adjointe et bras armé de Perrine, fera tout pour son patron tant elle veut lui faire plaisir… Elle en devient même plus dangereuse que lui. Le rythme est assez soutenu grâce à des chapitres courts. Cependant, James Patterson laisse un peu respirer le lecteur quand il nous amène à quelques kilomètres de Susanville dans le désert californien, endroit où le clan Bennett a pris ses quartiers depuis sa mise sous protection. Le calme de ce coin perdu est seulement perturbé par les dix enfants adoptifs de Bennett et Mary-Catherine, leur nounou anglaise au fort tempérament. En résumé, James Patterson a su parfaitement doser les scénes-chocs, l’action et les moments plus tranquilles dans son thriller Le sang de mon ennemi afin que le lecteur soit captivé jusqu’au bout du récit. Premier James Patterson que je lis et ce fut une bonne surprise ! Je remercie Les éditions L‘Archipel ainsi qu’Audrey de Langage et Projets Conseils pour l’envoi du thriller Le sang de mon ennemi de James Patterson.