(Suite) À Fort-Nelson ils sont accueillis par un ciel très chargé et une température bien basse pour la saison : dix degrés. La pluie fine qui tombe tiendra plusieurs heures. Fort Nelson n’est pas ce qu’on appelle une ville ou un village des Premières nations, autrement dit, ce n’est pas une ville autochtone, indienne. La majorité de la population est blanche et les habitations individuelles, mais aussi les immeubles de deux, trois, voire quatre étages comme l’hôtel de la chaîne Super 8, sont nombreux. Les deux compagnons apprécient les grilled chicken sandwiches et les cafés du bien nommé Fort-Nelson café, mais ils ne s’attardent pas. Ils reprennent la route après avoir fait le plein de Diésel.
(à suivre)